Figure 1. Photo en lampe à fente d’incisions de kératotomies radiaires.

Figure 3. Coupe en OCT swept-source : aspect anormalement plat du dôme cornéen.

Figure 4. Une occlusion de branche veineuse ischémique en temporal supérieur. Les clichés Mirante à 163 °, 89 ° et l’agrandissement sur la veine obstruée.

Figure 3. Montage de 2 clichés de Clarus à 133 ° chez un patient présentant une rétinopathie diabétique non proliférante sévère.

Figure 2. Cliché California à 200 ° montrant un hémangioblastome de von Hippel-Lindau (VHL).

Figure 1. Comparaison des clichés du même patient pris avec 3 appareils (Optos, Mirante, Clarus) à l’angle différent.

Figure 5. Rétinopathie diabétique traitée par photocoagulation panrétinienne (PPR). Montage de 5 clichés Eidon à 90 °.

Figure 3. Montage de 2 clichés de Clarus à 133 ° chez un patient présentant une rétinopathie diabétique non proliférante sévère.

Figure 2. Cliché California à 200 ° montrant un hémangioblastome de von Hippel-Lindau (VHL).

Figure 1. Comparaison des clichés du même patient pris avec 3 appareils (Optos, Mirante, Clarus) à l’angle différent.

Figure 5. Rétinopathie diabétique traitée par photocoagulation panrétinienne (PPR). Montage de 5 clichés Eidon à 90 °.

Figure 4. Une occlusion de branche veineuse ischémique en temporal supérieur. Les clichés Mirante à 163 °, 89 ° et l’agrandissement sur la veine obstruée.

Figure 2. Cliché California à 200 ° montrant un hémangioblastome de von Hippel-Lindau (VHL).

Figure 1. Comparaison des clichés du même patient pris avec 3 appareils (Optos, Mirante, Clarus) à l’angle différent.

Figure 5. Rétinopathie diabétique traitée par photocoagulation panrétinienne (PPR). Montage de 5 clichés Eidon à 90 °.

Figure 4. Une occlusion de branche veineuse ischémique en temporal supérieur. Les clichés Mirante à 163 °, 89 ° et l’agrandissement sur la veine obstruée.

Figure 3. Montage de 2 clichés de Clarus à 133 ° chez un patient présentant une rétinopathie diabétique non proliférante sévère.

Figure 1. Comparaison des clichés du même patient pris avec 3 appareils (Optos, Mirante, Clarus) à l’angle différent.

Figure 5. Rétinopathie diabétique traitée par photocoagulation panrétinienne (PPR). Montage de 5 clichés Eidon à 90 °.

Figure 4. Une occlusion de branche veineuse ischémique en temporal supérieur. Les clichés Mirante à 163 °, 89 ° et l’agrandissement sur la veine obstruée.

Figure 3. Montage de 2 clichés de Clarus à 133 ° chez un patient présentant une rétinopathie diabétique non proliférante sévère.

Figure 2. Cliché California à 200 ° montrant un hémangioblastome de von Hippel-Lindau (VHL).

Explantation des implants intraoculaires

Figure 3. Dissection des adhérences à la spatule.

Explantation des implants intraoculaires

Figure 1. Incision supérieure de 3 mm.

Figure 8. Découpe d’un implant acrylique hydrophile à l’aide des ciseaux de Vannas.

Explantation des implants intraoculaires

Figure 1. Incision supérieure de 3 mm.

Figure 8. Découpe d’un implant acrylique hydrophile à l’aide des ciseaux de Vannas.

Explantation des implants intraoculaires

Figure 3. Dissection des adhérences à la spatule.

Figure 2. Image LAF avec flèche visible en fente fine en regard de l’amincissement nasal.

Figure 1. Image LAF de la perforation cornéenne.

Figure 4. Image LAF avec équipement en lentille SPOT en lumière bleue et fluorescéine.

Figure 1. Image LAF de la perforation cornéenne.

Figure 4. Image LAF avec équipement en lentille SPOT en lumière bleue et fluorescéine.

Figure 2. Image LAF avec flèche visible en fente fine en regard de l’amincissement nasal.

Figure 1. Aspect en angiographie à la fluorescéine d’une néovascularisation de type 3 au temps précoce (à gauche) et au temps tardif (à droite). On note la présence d’une hyperfluorescence précoce punctiforme au voisinage d’un vaisseau rétinien avec diffusion au temps tardif.

Figure 2. Aspect en angiographie en ICG d’une néovascularisation de type 3 au temps précoce (à gauche) et au temps tardif (à droite). On note la présence d’une hyperfluorescence précoce (flèche rouge) au voisinage d’un vaisseau rétinien avec hot spot au temps tardif.

Figure 3. Une seule indication formelle de l’IP, le traitement de l’œil adelphe d’une crise aiguë de fermeture de l’angle.

Figure 5. IP au laser sur 2 heures et iridectomie chirurgicale dans le cadre d’une trabéculectomie sur 12 heures.

Figure 1. Aspect du trabéculum en MET (grossissement x 470). À gauche. Après ALT : cratère d’ablation au sein du trabéculum uvéal mesurant 95 x 70 µm. À droite. Les faisceaux du trabéculum uvéal et les lamelles du cornéoscléral sont intacts, avec quelques discrètes craquelures (d’après Kramer et al.[7]).

Figure 3. Localisation du spot de laser SLT dans la fenêtre trabéculaire : ce dernier est centré à cheval sur le trabéculum pigmenté.

Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.

Figure 6. Examen en lumière bleue. Il existe un contact entre la lentille et la cornée au niveau de la zone sans fluorescéine.

Figure 5. Examen en lumière bleue. Passage de fluorescéine sous le bord inférieur de la lentille par push up.

Figure 4. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Interruption localisée des vaisseaux conjonctivaux sous le bord de la lentille.

Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.

Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.

Figure 6. Examen en lumière bleue. Il existe un contact entre la lentille et la cornée au niveau de la zone sans fluorescéine.

Figure 5. Examen en lumière bleue. Passage de fluorescéine sous le bord inférieur de la lentille par push up.

Figure 4. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Interruption localisée des vaisseaux conjonctivaux sous le bord de la lentille.

Figure 2. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Il existe une bulle d’air dans l’espace liquidien faisant suite à la pose de la lentille.

Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.

Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.

Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.

Figure 5. Examen en lumière bleue. Passage de fluorescéine sous le bord inférieur de la lentille par push up.

Figure 4. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Interruption localisée des vaisseaux conjonctivaux sous le bord de la lentille.

Figure 2. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Il existe une bulle d’air dans l’espace liquidien faisant suite à la pose de la lentille.

Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.

Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.

Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.

Figure 6. Examen en lumière bleue. Il existe un contact entre la lentille et la cornée au niveau de la zone sans fluorescéine.

Figure 4. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Interruption localisée des vaisseaux conjonctivaux sous le bord de la lentille.

Figure 2. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Il existe une bulle d’air dans l’espace liquidien faisant suite à la pose de la lentille.

Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.

Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.

Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.

Figure 6. Examen en lumière bleue. Il existe un contact entre la lentille et la cornée au niveau de la zone sans fluorescéine.

Figure 5. Examen en lumière bleue. Passage de fluorescéine sous le bord inférieur de la lentille par push up.

Figure 2. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Il existe une bulle d’air dans l’espace liquidien faisant suite à la pose de la lentille.

Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.

Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.

Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.

Figure 6. Examen en lumière bleue. Il existe un contact entre la lentille et la cornée au niveau de la zone sans fluorescéine.

Figure 5. Examen en lumière bleue. Passage de fluorescéine sous le bord inférieur de la lentille par push up.

Figure 4. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Interruption localisée des vaisseaux conjonctivaux sous le bord de la lentille.

Figure 2. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Il existe une bulle d’air dans l’espace liquidien faisant suite à la pose de la lentille.

Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.

Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.

Figure 6. Examen en lumière bleue. Il existe un contact entre la lentille et la cornée au niveau de la zone sans fluorescéine.

Figure 5. Examen en lumière bleue. Passage de fluorescéine sous le bord inférieur de la lentille par push up.

Figure 4. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Interruption localisée des vaisseaux conjonctivaux sous le bord de la lentille.

Figure 2. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Il existe une bulle d’air dans l’espace liquidien faisant suite à la pose de la lentille.

Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.

Taches d’Elschnig

Figure 4. Lésions hypofluorescentes en angiographie à la fluorescéine (A), également hypocyanescentes en ICG (B) correspondant à des taches d’Elschnig sur les clichés au temps tardif.

Microanévrysmes rétiniens

Figure 3. Angiographie à la fluorescéine au temps intermédiaire : zones de non-perfusion, diffusion papillaire et microanévrysmes rétiniens.

Microanévrysmes rétiniens

Figure 3. Angiographie à la fluorescéine au temps intermédiaire : zones de non-perfusion, diffusion papillaire et microanévrysmes rétiniens.

Rétinopathie hypertensive

Figure 1. Photographie grand champ (Optos) du fond d’œil retrouvant un œdème papillaire, des hémorragies multiples, des exsudats secs et des nodules cotonneux.

Taches d’Elschnig

Figure 4. Lésions hypofluorescentes en angiographie à la fluorescéine (A), également hypocyanescentes en ICG (B) correspondant à des taches d’Elschnig sur les clichés au temps tardif.

Rétinopathie hypertensive

Figure 1. Photographie grand champ (Optos) du fond d’œil retrouvant un œdème papillaire, des hémorragies multiples, des exsudats secs et des nodules cotonneux.

Figure 2. Épithéliopathie en plaques avec atteinte fovéolaire de l’œil droit : les lésions jaunes sont visibles en rétinophotographie (A) et typiques en OCT (D) : interruption de la zone ellipsoïde et de la membrane limitante externe, hyperréflectivité de la couche nucléaire externe. La non-perfusion de la choriocapillaire est visible hypofluorescente dès les phases précoces de l’angiographie à l’ICG (B) et à la fluorescéine (E), et persiste au temps tardif de l’ICG (C). Remplissage progressif rétinien au temps tardif en fluorescéine (F).

Figure 1a et b. Uvéite postérieure liée à la syphilis : rétinite associée à des précipités prérétiniens en aspect de verre dépoli.

Figure 3. Patiente adressée pour une uvéite antérieure granulomateuse bilatérale. Le fond d’œil révèle une papillite gauche (B) qui est confirmée en angiographie à la fluorescéine (D) et l’ICG révèle la présence de nombreux granulomes choroïdiens bilatéraux (E et F). Une sarcoïdose oculaire et pulmonaire a été confirmée.

Figure 1a et b. Uvéite postérieure liée à la syphilis : rétinite associée à des précipités prérétiniens en aspect de verre dépoli.

Figure 3. Patiente adressée pour une uvéite antérieure granulomateuse bilatérale. Le fond d’œil révèle une papillite gauche (B) qui est confirmée en angiographie à la fluorescéine (D) et l’ICG révèle la présence de nombreux granulomes choroïdiens bilatéraux (E et F). Une sarcoïdose oculaire et pulmonaire a été confirmée.

Figure 2. Épithéliopathie en plaques avec atteinte fovéolaire de l’œil droit : les lésions jaunes sont visibles en rétinophotographie (A) et typiques en OCT (D) : interruption de la zone ellipsoïde et de la membrane limitante externe, hyperréflectivité de la couche nucléaire externe. La non-perfusion de la choriocapillaire est visible hypofluorescente dès les phases précoces de l’angiographie à l’ICG (B) et à la fluorescéine (E), et persiste au temps tardif de l’ICG (C). Remplissage progressif rétinien au temps tardif en fluorescéine (F).

Figure 1. Aspect de kératopathie en bandelette à la lampe à fente.

Figure 3. Aspect postopératoire en PKT de la kératopathie en bandelette, avec libération de l’axe visuel.

Figure 3. Image fluo en sablier d’une lentille sphérique sur une cornée torique. Si le confort de port et l’acuité sont satisfaisants, cette adaptation est tout à fait acceptable.

Figure 1. Image fluo homogène d’une lentille sphérique sur cornée sphérique.

Figure 4. Lentille de géométrie spéciale avec image typiquement en cocarde centrale mais sans contact et Edge Lift (dégagement) très ouvert.

Figure 1. Image fluo homogène d’une lentille sphérique sur cornée sphérique.