Nouvelle édition "Les Entretiens Francophones d'Orthoptie" sous la directtion scientifique du Pr Dominique Brémond-Gignac et M. Adil El Maftouhi, se dérouleront à la Maison de la Chimie à Paris
Diagnostic et imagerie des vascularites rétiniennes
Figure 2. Rétinochoroïdopathie de type Birdshot. A et B. L’angiographie à la fluorescéine révèle une vascularite veineuse des gros troncs avec une diffusion papillaire, et une capillaropathie diffuse en feuilles de fougère. C. L’angiographie ICG montre de multiples granulomes choroïdiens prédominants en péripapillaire.
Diagnostic et imagerie des vascularites rétiniennes
Figure 4. Rétinopathie lupique très sévère associée à une néphropathie lupique. A et B. La rétinophotographie montre des vaisseaux fantômes totalement occlus, avec de nombreux nodules cotonneux. C et D. L’angiographie à la fluorescéine révèle l’atteinte dramatique artérielle avec une ischémie majeure bilatérale et des diffusions artériolaires.
Diagnostic et imagerie des vascularites rétiniennes
Figure 3. A et B. Maladie de Behçet. Sur les rétinophotographies ultra grand champ, on remarque la présence d’engainements vasculaires bilatéraux (flèches), d’une vascularite veineuse occlusive sur l’œil gauche avec un vaisseau fantôme et des hémorragies rétiniennes, une hyalite et un infiltrat intrarétinien (tête de flèche). C et D. L’angiographie fluorescéine ultra grand champ révèle une capillaropathie bilatérale diffuse très sévère en feuilles de fougère et une ischémie rétinienne temporosupérieure de l’œil gauche.
Diagnostic et traitement des hémangiomes choroïdiens circonscrits
Figure 1. Hémangiome choroïdien circonscrit chez une femme de 66 ans. On observe une masse maculaire orangée, avec une coulée gravitationnelle inférieure associée à une atrophie de l’épithélium pigmentaire.
Pourquoi le type de néovaisseau est important dans le traitement de l’exsudation en DMLA
Figure 4. Imagerie multimodale d’un néovaisseau de type 3. La rétinographie montre une hémorragie rétinienne en regard de la terminaison d’un vaisseau rétinien maculaire. Des pseudo-drusen réticulés sont aussi visibles. L’angiographie à la fluorescéine retrouve un remplissage des logettes cystoïdes rétiniennes. L’ICG met en évidence la prise de contraste d’un hot spot qui signe la présence d’un néovaisseau rétinien. L’OCT montre une image d’hyperréflectivité intrarétinienne avec des altérations de l’EP en regard, ainsi que du fluide intrarétinien.
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Pourquoi le type de néovaisseau est important dans le traitement de l’exsudation en DMLA
Figure 3. Imagerie multimodale d’un néovaisseau de type 2. Le néovaisseau est bien visible sur la rétinographie (RPC) et sur l’angiographie à la fluorescéine sous la forme d’une prise de contraste en « rayon de roue ». L’ICG permet de mettre en évidence un lacis néovasculaire. L’OCT montre une brèche sous-fovéolaire de l’EP, avec du matériel hyperréflectif sous-rétinien accompagné de fluide sous-rétinien et d’un épaississement de la rétine. L’OCT-A confirme la présence d’un néovaisseau.
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Pourquoi le type de néovaisseau est important dans le traitement de l’exsudation en DMLA
Figure 2. Imagerie multimodale d’un néovaisseau de type 1. La rétinographie (RPC) objective surtout des signes cardinaux de DMLA (drusen et altérations de l’EP). L’angiographie à la fluorescéine ne montre pas clairement le néovaisseau (pin points) mais l’ICG met bien en évidence une plaque hyperfluorescente tardive. L’OCT confirme la présence de matériel entre l’EP et la membrane de Bruch (signe du double contour), avec la présence de fluide sous-rétinien. L’OCT-A confirme la présence d’un lacis néovasculaire avec de nombreuses boucles périphériques et des gros troncs.
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Figure 2. Diminution de la densité des nerfs du plexus sous-basal chez un patient avec un syndrome de Gougerot-Sjögren (à gauche) vs sujet contrôle sain (à droite).
Figure 1. Phase aiguë (A) d’une épithéliopathie en plaques avec de nombreuses lésions choroïdiennes d’aspect blanc-jaunâtre, laissant apparaître secondairement des remaniements pigmentaires cicatriciels (B).
Imagerie multimodale dans les uvéites postérieures
Figure 5. Imagerie multimodale dans une syphilis avec en autofluorescence une plaque plutôt hyper-autofluorescente ; en OCT, des cellules dans le vitré et des points hyperréflectifs sous-rétiniens ; une vascularite veineuse des gros troncs temporaux supérieurs et papillite en FLUO ; et une plaque hypofluorescente en ICG persistant aux temps tardifs relativement pathognomonique d’une atteinte syphilitique.
Intérêt de la photographie ultra grand champ en cas de troubles des milieux
Figure 1. Intérêt de la photographie ultra grand champ en cas de troubles des milieux qui permet de visualiser des foyers de rétinite dans une maladie de Behçet, œil droit ; l’œil gauche semble indemne (A, B). Intérêt de l’angiographie ultra grand champ qui permet de visualiser la vascularite rétinienne sévère de l’œil droit et de démasquer à gauche en périphérie une atteinte vasculaire ancienne responsable d’anastomoses vasculaires chez ce même patient, témoignant d’une atteinte bilatérale (C, D).
Figure 1. Clichés couleur, OCT, FA et ICG d’un cas de PEVAC. A. Exsudats secs lipidiques et possibles petites anomalies vasculaires en temporal de la macula, visibles sur le cliché couleur (flèche). B. Coupe verticale de l’OCT passant par l’anomalie vasculaire. Celle-ci présente un aspect de macroanévrysme avec une paroi hyperréflective et masque les structures sous-jacentes. C. Mapping de l’OCT révélant l’épaississement focal de l’OMC associé au macroanévrysme. D et E. Temps précoces et tardifs de l’AF. Le macroanévrysme s’imprègne dès les temps précoces et diffuse aux temps tardifs. F. Le macroanévrysme est également bien visible sur ce cliché d’un temps intermédiaire de l’ICG.
Figure 4. Une occlusion de branche veineuse ischémique en temporal supérieur. Les clichés Mirante à 163 °, 89 ° et l’agrandissement sur la veine obstruée.
Figure 4. Rétinopathie lupique très sévère associée à une néphropathie lupique. A et B. La rétinophotographie montre des vaisseaux fantômes totalement occlus, avec de nombreux nodules cotonneux. C et D. L’angiographie à la fluorescéine révèle l’atteinte dramatique artérielle avec une ischémie majeure bilatérale et des diffusions artériolaires.
Figure 3. A et B. Maladie de Behçet. Sur les rétinophotographies ultra grand champ, on remarque la présence d’engainements vasculaires bilatéraux (flèches), d’une vascularite veineuse occlusive sur l’œil gauche avec un vaisseau fantôme et des hémorragies rétiniennes, une hyalite et un infiltrat intrarétinien (tête de flèche). C et D. L’angiographie fluorescéine ultra grand champ révèle une capillaropathie bilatérale diffuse très sévère en feuilles de fougère et une ischémie rétinienne temporosupérieure de l’œil gauche.
Figure 4. Rétinopathie lupique très sévère associée à une néphropathie lupique. A et B. La rétinophotographie montre des vaisseaux fantômes totalement occlus, avec de nombreux nodules cotonneux. C et D. L’angiographie à la fluorescéine révèle l’atteinte dramatique artérielle avec une ischémie majeure bilatérale et des diffusions artériolaires.
Figure 3. A et B. Maladie de Behçet. Sur les rétinophotographies ultra grand champ, on remarque la présence d’engainements vasculaires bilatéraux (flèches), d’une vascularite veineuse occlusive sur l’œil gauche avec un vaisseau fantôme et des hémorragies rétiniennes, une hyalite et un infiltrat intrarétinien (tête de flèche). C et D. L’angiographie fluorescéine ultra grand champ révèle une capillaropathie bilatérale diffuse très sévère en feuilles de fougère et une ischémie rétinienne temporosupérieure de l’œil gauche.
Figure 2. Rétinochoroïdopathie de type Birdshot. A et B. L’angiographie à la fluorescéine révèle une vascularite veineuse des gros troncs avec une diffusion papillaire, et une capillaropathie diffuse en feuilles de fougère. C. L’angiographie ICG montre de multiples granulomes choroïdiens prédominants en péripapillaire.
Figure 3. A et B. Maladie de Behçet. Sur les rétinophotographies ultra grand champ, on remarque la présence d’engainements vasculaires bilatéraux (flèches), d’une vascularite veineuse occlusive sur l’œil gauche avec un vaisseau fantôme et des hémorragies rétiniennes, une hyalite et un infiltrat intrarétinien (tête de flèche). C et D. L’angiographie fluorescéine ultra grand champ révèle une capillaropathie bilatérale diffuse très sévère en feuilles de fougère et une ischémie rétinienne temporosupérieure de l’œil gauche.
Figure 2. Rétinochoroïdopathie de type Birdshot. A et B. L’angiographie à la fluorescéine révèle une vascularite veineuse des gros troncs avec une diffusion papillaire, et une capillaropathie diffuse en feuilles de fougère. C. L’angiographie ICG montre de multiples granulomes choroïdiens prédominants en péripapillaire.
Figure 4. Rétinopathie lupique très sévère associée à une néphropathie lupique. A et B. La rétinophotographie montre des vaisseaux fantômes totalement occlus, avec de nombreux nodules cotonneux. C et D. L’angiographie à la fluorescéine révèle l’atteinte dramatique artérielle avec une ischémie majeure bilatérale et des diffusions artériolaires.
Figure 2. Rétinochoroïdopathie de type Birdshot. A et B. L’angiographie à la fluorescéine révèle une vascularite veineuse des gros troncs avec une diffusion papillaire, et une capillaropathie diffuse en feuilles de fougère. C. L’angiographie ICG montre de multiples granulomes choroïdiens prédominants en péripapillaire.
Figure 1. Hémangiome choroïdien circonscrit chez une femme de 66 ans. On observe une masse maculaire orangée, avec une coulée gravitationnelle inférieure associée à une atrophie de l’épithélium pigmentaire.
Figure 3. Imagerie multimodale d’un néovaisseau de type 2. Le néovaisseau est bien visible sur la rétinographie (RPC) et sur l’angiographie à la fluorescéine sous la forme d’une prise de contraste en « rayon de roue ». L’ICG permet de mettre en évidence un lacis néovasculaire. L’OCT montre une brèche sous-fovéolaire de l’EP, avec du matériel hyperréflectif sous-rétinien accompagné de fluide sous-rétinien et d’un épaississement de la rétine. L’OCT-A confirme la présence d’un néovaisseau.
Figure 2. Imagerie multimodale d’un néovaisseau de type 1. La rétinographie (RPC) objective surtout des signes cardinaux de DMLA (drusen et altérations de l’EP). L’angiographie à la fluorescéine ne montre pas clairement le néovaisseau (pin points) mais l’ICG met bien en évidence une plaque hyperfluorescente tardive. L’OCT confirme la présence de matériel entre l’EP et la membrane de Bruch (signe du double contour), avec la présence de fluide sous-rétinien. L’OCT-A confirme la présence d’un lacis néovasculaire avec de nombreuses boucles périphériques et des gros troncs.
Figure 4. Imagerie multimodale d’un néovaisseau de type 3. La rétinographie montre une hémorragie rétinienne en regard de la terminaison d’un vaisseau rétinien maculaire. Des pseudo-drusen réticulés sont aussi visibles. L’angiographie à la fluorescéine retrouve un remplissage des logettes cystoïdes rétiniennes. L’ICG met en évidence la prise de contraste d’un hot spot qui signe la présence d’un néovaisseau rétinien. L’OCT montre une image d’hyperréflectivité intrarétinienne avec des altérations de l’EP en regard, ainsi que du fluide intrarétinien.
Figure 2. Imagerie multimodale d’un néovaisseau de type 1. La rétinographie (RPC) objective surtout des signes cardinaux de DMLA (drusen et altérations de l’EP). L’angiographie à la fluorescéine ne montre pas clairement le néovaisseau (pin points) mais l’ICG met bien en évidence une plaque hyperfluorescente tardive. L’OCT confirme la présence de matériel entre l’EP et la membrane de Bruch (signe du double contour), avec la présence de fluide sous-rétinien. L’OCT-A confirme la présence d’un lacis néovasculaire avec de nombreuses boucles périphériques et des gros troncs.
Figure 4. Imagerie multimodale d’un néovaisseau de type 3. La rétinographie montre une hémorragie rétinienne en regard de la terminaison d’un vaisseau rétinien maculaire. Des pseudo-drusen réticulés sont aussi visibles. L’angiographie à la fluorescéine retrouve un remplissage des logettes cystoïdes rétiniennes. L’ICG met en évidence la prise de contraste d’un hot spot qui signe la présence d’un néovaisseau rétinien. L’OCT montre une image d’hyperréflectivité intrarétinienne avec des altérations de l’EP en regard, ainsi que du fluide intrarétinien.
Figure 3. Imagerie multimodale d’un néovaisseau de type 2. Le néovaisseau est bien visible sur la rétinographie (RPC) et sur l’angiographie à la fluorescéine sous la forme d’une prise de contraste en « rayon de roue ». L’ICG permet de mettre en évidence un lacis néovasculaire. L’OCT montre une brèche sous-fovéolaire de l’EP, avec du matériel hyperréflectif sous-rétinien accompagné de fluide sous-rétinien et d’un épaississement de la rétine. L’OCT-A confirme la présence d’un néovaisseau.
Figure 2. Diminution de la densité des nerfs du plexus sous-basal chez un patient avec un syndrome de Gougerot-Sjögren (à gauche) vs sujet contrôle sain (à droite).
Figure 1. Phase aiguë (A) d’une épithéliopathie en plaques avec de nombreuses lésions choroïdiennes d’aspect blanc-jaunâtre, laissant apparaître secondairement des remaniements pigmentaires cicatriciels (B).
Figure 1. Phase aiguë (A) d’une épithéliopathie en plaques avec de nombreuses lésions choroïdiennes d’aspect blanc-jaunâtre, laissant apparaître secondairement des remaniements pigmentaires cicatriciels (B).
Intérêt de la photographie ultra grand champ en cas de troubles des milieux
Figure 1. Intérêt de la photographie ultra grand champ en cas de troubles des milieux qui permet de visualiser des foyers de rétinite dans une maladie de Behçet, œil droit ; l’œil gauche semble indemne (A, B). Intérêt de l’angiographie ultra grand champ qui permet de visualiser la vascularite rétinienne sévère de l’œil droit et de démasquer à gauche en périphérie une atteinte vasculaire ancienne responsable d’anastomoses vasculaires chez ce même patient, témoignant d’une atteinte bilatérale (C, D).
Figure 4. Une occlusion de branche veineuse ischémique en temporal supérieur. Les clichés Mirante à 163 °, 89 ° et l’agrandissement sur la veine obstruée.
Figure 4. Une occlusion de branche veineuse ischémique en temporal supérieur. Les clichés Mirante à 163 °, 89 ° et l’agrandissement sur la veine obstruée.
Figure 4. Une occlusion de branche veineuse ischémique en temporal supérieur. Les clichés Mirante à 163 °, 89 ° et l’agrandissement sur la veine obstruée.
Figure 4. Une occlusion de branche veineuse ischémique en temporal supérieur. Les clichés Mirante à 163 °, 89 ° et l’agrandissement sur la veine obstruée.
Nouvelle édition "Les Entretiens Francophones d'Orthoptie" sous la directtion scientifique du Pr Dominique Brémond-Gignac et M. Adil El Maftouhi, se dérouleront à la Maison de la Chimie à Paris