Figure 1. Phase aiguë (A) d’une épithéliopathie en plaques avec de nombreuses lésions choroïdiennes d’aspect blanc-jaunâtre, laissant apparaître secondairement des remaniements pigmentaires cicatriciels (B).
Imagerie multimodale dans les uvéites postérieures
Figure 5. Imagerie multimodale dans une syphilis avec en autofluorescence une plaque plutôt hyper-autofluorescente ; en OCT, des cellules dans le vitré et des points hyperréflectifs sous-rétiniens ; une vascularite veineuse des gros troncs temporaux supérieurs et papillite en FLUO ; et une plaque hypofluorescente en ICG persistant aux temps tardifs relativement pathognomonique d’une atteinte syphilitique.
Intérêt de la photographie ultra grand champ en cas de troubles des milieux
Figure 1. Intérêt de la photographie ultra grand champ en cas de troubles des milieux qui permet de visualiser des foyers de rétinite dans une maladie de Behçet, œil droit ; l’œil gauche semble indemne (A, B). Intérêt de l’angiographie ultra grand champ qui permet de visualiser la vascularite rétinienne sévère de l’œil droit et de démasquer à gauche en périphérie une atteinte vasculaire ancienne responsable d’anastomoses vasculaires chez ce même patient, témoignant d’une atteinte bilatérale (C, D).
Figure 1. Clichés couleur, OCT, FA et ICG d’un cas de PEVAC. A. Exsudats secs lipidiques et possibles petites anomalies vasculaires en temporal de la macula, visibles sur le cliché couleur (flèche). B. Coupe verticale de l’OCT passant par l’anomalie vasculaire. Celle-ci présente un aspect de macroanévrysme avec une paroi hyperréflective et masque les structures sous-jacentes. C. Mapping de l’OCT révélant l’épaississement focal de l’OMC associé au macroanévrysme. D et E. Temps précoces et tardifs de l’AF. Le macroanévrysme s’imprègne dès les temps précoces et diffuse aux temps tardifs. F. Le macroanévrysme est également bien visible sur ce cliché d’un temps intermédiaire de l’ICG.
Figure 4. Une occlusion de branche veineuse ischémique en temporal supérieur. Les clichés Mirante à 163 °, 89 ° et l’agrandissement sur la veine obstruée.
Diagnostic en imagerie de la néovascularisation de type 3
Figure 2. Aspect en angiographie en ICG d’une néovascularisation de type 3 au temps précoce (à gauche) et au temps tardif (à droite). On note la présence d’une hyperfluorescence précoce (flèche rouge) au voisinage d’un vaisseau rétinien avec hot spot au temps tardif.
Diagnostic en imagerie de la néovascularisation de type 3
Figure 1. Aspect en angiographie à la fluorescéine d’une néovascularisation de type 3 au temps précoce (à gauche) et au temps tardif (à droite). On note la présence d’une hyperfluorescence précoce punctiforme au voisinage d’un vaisseau rétinien avec diffusion au temps tardif.
Figure 1. Aspect du trabéculum en MET (grossissement x 470). À gauche. Après ALT : cratère d’ablation au sein du trabéculum uvéal mesurant 95 x 70 µm. À droite. Les faisceaux du trabéculum uvéal et les lamelles du cornéoscléral sont intacts, avec quelques discrètes craquelures (d’après Kramer et al.[7]).
La cyclocoagulation conventionnelle et micropulsée en pratique
Figure 1. Sonde G-Probe du laser thermique appliquée sur la sclère : notons la dépression sclérale par la sonde en regard de la couronne ciliaire visualisée en transillumination.
Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.
Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.
Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.
Applications santé connectées : que conseiller à nos patients ?
Figure 1. Sim by ViaOphta, simulant la symptomatologie ressentie par un patient atteint d’un glaucome (1b), d’une cataracte (1c) et d’une DMLA (1d), par rapport à l’absence de pathologie (1a).
Figure 4. Lésions hypofluorescentes en angiographie à la fluorescéine (A), également hypocyanescentes en ICG (B) correspondant à des taches d’Elschnig sur les clichés au temps tardif.
Figure 1. Photographie grand champ (Optos) du fond d’œil retrouvant un œdème papillaire, des hémorragies multiples, des exsudats secs et des nodules cotonneux.
Classification et bilan étiologique des uvéites avec atteinte du segment postérieur
Figure 3. Patiente adressée pour une uvéite antérieure granulomateuse bilatérale. Le fond d’œil révèle une papillite gauche (B) qui est confirmée en angiographie à la fluorescéine (D) et l’ICG révèle la présence de nombreux granulomes choroïdiens bilatéraux (E et F). Une sarcoïdose oculaire et pulmonaire a été confirmée.
Lire l'article associé Classification et bilan étiologique des uvéites avec atteinte du segment postérieur
Classification et bilan étiologique des uvéites avec atteinte du segment postérieur
Figure 2. Épithéliopathie en plaques avec atteinte fovéolaire de l’œil droit : les lésions jaunes sont visibles en rétinophotographie (A) et typiques en OCT (D) : interruption de la zone ellipsoïde et de la membrane limitante externe, hyperréflectivité de la couche nucléaire externe. La non-perfusion de la choriocapillaire est visible hypofluorescente dès les phases précoces de l’angiographie à l’ICG (B) et à la fluorescéine (E), et persiste au temps tardif de l’ICG (C). Remplissage progressif rétinien au temps tardif en fluorescéine (F).
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Intérêt de la photographie ultra grand champ en cas de troubles des milieux
Figure 1. Intérêt de la photographie ultra grand champ en cas de troubles des milieux qui permet de visualiser des foyers de rétinite dans une maladie de Behçet, œil droit ; l’œil gauche semble indemne (A, B). Intérêt de l’angiographie ultra grand champ qui permet de visualiser la vascularite rétinienne sévère de l’œil droit et de démasquer à gauche en périphérie une atteinte vasculaire ancienne responsable d’anastomoses vasculaires chez ce même patient, témoignant d’une atteinte bilatérale (C, D).
Figure 4. Une occlusion de branche veineuse ischémique en temporal supérieur. Les clichés Mirante à 163 °, 89 ° et l’agrandissement sur la veine obstruée.
Figure 4. Une occlusion de branche veineuse ischémique en temporal supérieur. Les clichés Mirante à 163 °, 89 ° et l’agrandissement sur la veine obstruée.
Figure 4. Une occlusion de branche veineuse ischémique en temporal supérieur. Les clichés Mirante à 163 °, 89 ° et l’agrandissement sur la veine obstruée.
Figure 4. Une occlusion de branche veineuse ischémique en temporal supérieur. Les clichés Mirante à 163 °, 89 ° et l’agrandissement sur la veine obstruée.
Figure 1. Aspect en angiographie à la fluorescéine d’une néovascularisation de type 3 au temps précoce (à gauche) et au temps tardif (à droite). On note la présence d’une hyperfluorescence précoce punctiforme au voisinage d’un vaisseau rétinien avec diffusion au temps tardif.
Figure 2. Aspect en angiographie en ICG d’une néovascularisation de type 3 au temps précoce (à gauche) et au temps tardif (à droite). On note la présence d’une hyperfluorescence précoce (flèche rouge) au voisinage d’un vaisseau rétinien avec hot spot au temps tardif.
Figure 1. Aspect du trabéculum en MET (grossissement x 470). À gauche. Après ALT : cratère d’ablation au sein du trabéculum uvéal mesurant 95 x 70 µm. À droite. Les faisceaux du trabéculum uvéal et les lamelles du cornéoscléral sont intacts, avec quelques discrètes craquelures (d’après Kramer et al.[7]).
Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.
Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.
Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.
Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.
Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.
Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.
Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.
Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.
Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.
Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.
Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.
Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.
Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.
Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.
Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.
Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.
Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.
Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.
Figure 1. Photographie grand champ (Optos) du fond d’œil retrouvant un œdème papillaire, des hémorragies multiples, des exsudats secs et des nodules cotonneux.
Figure 4. Lésions hypofluorescentes en angiographie à la fluorescéine (A), également hypocyanescentes en ICG (B) correspondant à des taches d’Elschnig sur les clichés au temps tardif.
Figure 1. Photographie grand champ (Optos) du fond d’œil retrouvant un œdème papillaire, des hémorragies multiples, des exsudats secs et des nodules cotonneux.
Figure 4. Lésions hypofluorescentes en angiographie à la fluorescéine (A), également hypocyanescentes en ICG (B) correspondant à des taches d’Elschnig sur les clichés au temps tardif.
Figure 3. Patiente adressée pour une uvéite antérieure granulomateuse bilatérale. Le fond d’œil révèle une papillite gauche (B) qui est confirmée en angiographie à la fluorescéine (D) et l’ICG révèle la présence de nombreux granulomes choroïdiens bilatéraux (E et F). Une sarcoïdose oculaire et pulmonaire a été confirmée.
Figure 2. Épithéliopathie en plaques avec atteinte fovéolaire de l’œil droit : les lésions jaunes sont visibles en rétinophotographie (A) et typiques en OCT (D) : interruption de la zone ellipsoïde et de la membrane limitante externe, hyperréflectivité de la couche nucléaire externe. La non-perfusion de la choriocapillaire est visible hypofluorescente dès les phases précoces de l’angiographie à l’ICG (B) et à la fluorescéine (E), et persiste au temps tardif de l’ICG (C). Remplissage progressif rétinien au temps tardif en fluorescéine (F).
Figure 2. Épithéliopathie en plaques avec atteinte fovéolaire de l’œil droit : les lésions jaunes sont visibles en rétinophotographie (A) et typiques en OCT (D) : interruption de la zone ellipsoïde et de la membrane limitante externe, hyperréflectivité de la couche nucléaire externe. La non-perfusion de la choriocapillaire est visible hypofluorescente dès les phases précoces de l’angiographie à l’ICG (B) et à la fluorescéine (E), et persiste au temps tardif de l’ICG (C). Remplissage progressif rétinien au temps tardif en fluorescéine (F).
Figure 3. Patiente adressée pour une uvéite antérieure granulomateuse bilatérale. Le fond d’œil révèle une papillite gauche (B) qui est confirmée en angiographie à la fluorescéine (D) et l’ICG révèle la présence de nombreux granulomes choroïdiens bilatéraux (E et F). Une sarcoïdose oculaire et pulmonaire a été confirmée.