Echographie
Le choix de la bonne modalité d’anesthésie oculaire est une donnée primordiale pour le confort du patient et le succès de la chirurgie. Il ne doit pas être négligé mais ajusté au cas par cas. Quelques définitions sont à poser avant d’aborder les avantages et les inconvénients des différentes options. La réglementation concernant l’acte d’anesthésie est évolutive et implique des recommandations officielles qui diffèrent parfois de la réalité des pratiques.
Après un rappel mathématique simple sur le facteur Q et quelques définitions, il est proposé une mise au point pratique sur les aberrations optiques, et notamment celles concernées dans le presbyLasik, à savoir les aberrations sphériques. La théorie du presbyLasik, qu’il soit hypermétropique ou myopique, est alors expliquée. Dans le Lasik myopique, il est avancé que l’efficacité est due à la manipulation des aberrations sphériques mais également à l’existence d’une bifocalité centrale générée par le principe de compensation du défocus induit. Des applications…
Les trous lamellaires sont une complication du décollement postérieur du vitré qui, généralement, ne présentent pas d’anomalies à la surface de la rétine. Avec le temps, on observe progressivement une dissection, puis une dégénérescence des bords du trou, et une prolifération peut apparaître à la surface de la rétine. La chirurgie peut être efficace mais elle nécessite un chirurgien expérimenté et une technique précise.
Le pelage de la membrane limitante interne (MLI) a été décrit pour la première fois pour le traitement des trous maculaires (TM) par Eckardt et al. en 1997. Depuis, il s’est largement démocratisé en chirurgie vitréo-rétinienne et dans celle des membranes épirétiniennes (MER). Dans la chirurgie des TM, le pelage de la MLI augmente le taux de fermeture et diminue le risque de réouvertures postopératoires tardives. Dans celles des MER, il diminue le risque de récidive postopératoire et donc de reprise chirurgicale. Si l’événement des colorants a beaucoup simplifié le geste…
Il existe peu d’études évaluant l’évolution naturelle anatomique et fonctionnelle des trous maculaires (TM) idiopathiques. La taille du trou et la durée d’évolution sont des facteurs pronostiques de récupération postopératoire connus, mais le délai pour la chirurgie reste non consensuel. Une grande partie des travaux historiques concernant l’évolution naturelle des TM a été menée sur de longues durées de suivi (1 à 5 ans) mais la vitesse d’élargissement d’un TM dans les semaines qui suivent sa constitution n’a été que peu étudiée. De même, la cinétique…
