Echographie
Les trous maculaires (TM) secondaires se distinguent des trous maculaires idiopathiques par leur physiopathologie différente, ou bien par l’association à une autre pathologie vitréo-rétinienne. En effet, l’existence d’une autre pathologie influe sur le comportement vitréen, considéré comme responsable de la survenue des TM idiopathiques, ainsi que sur l’intégrité de la structure rétinienne et de l’épithélium pigmentaire. Il est important de reconnaître ces TM secondaires afin d’adapter la balance bénéfice/ risque pour chaque patient.
Élodie K. une jeune patiente de 16 ans et demi, nous a été adressée en avril 2019 pour une baisse d’acuité visuelle progressive depuis 1 an, surtout à l’œil gauche. À l’interrogatoire, on retrouvait une atopie familiale avec mention de conjonctivites de type allergique depuis l’enfance et de frottements oculaires fréquents.
Les uvéites infectieuses représentent 20 à 30% de l’ensemble des uvéites et près de 50% des uvéites postérieures. Devant toute uvéite, l’origine infectieuse doit être recherchée avant la mise en place d’un traitement anti-inflammatoire corticoïdes ou immunosuppresseurs. La présentation clinique des uvéites infectieuses n’est pas toujours spécifique, d’où l’importance de bien conduire l’interrogatoire, d’orienter les examens complémentaires et de solliciter l’aide de l’infectiologue et de l’interniste.
Le casse-tête pour tout le monde : comment faire pour placer la trésorerie de sa société ? Des sommes importantes restent oisives sur les comptes en banque alors qu’elles pourraient générer des intérêts ! Mais comment ? Quels placements choisir ?
Un homme âgé de 60 ans consulte en décembre 2011 pour une baisse visuelle de son œil gauche depuis 1 mois. Dans ses antécédents, on note une hypertension artérielle traitée et une consommation de tabac.
