Echographie

Le glaucome chronique par fermeture primitive de l’angle (GCFA) est défini par une fermeture primitive de l’angle (FPA) associée à une neuropathie optique glaucomateuse. Souvent sous-diagnostiqué, le GCFA est une cause majeure de cécité dans le monde. Il est important de noter que la forme aiguë, anciennement appelée glaucome par fermeture de l’angle, n’est plus considérée comme un glaucome et est maintenant dénommée crise aiguë de fermeture de l’angle (CAFA). Elle ne sera pas traitée dans ce chapitre. Nous n’aborderons donc que les GCFA les plus fréquents,…

Le syndrome de dispersion pigmentaire est une entité anatomo-clinique caractérisée par une libération des constituants de l’épithélium pigmentaire de l’iris qui sont ensuite transportés par l’humeur aqueuse et se déposent sur diverses structures du segment antérieur, notamment au niveau des mailles du trabéculum [1]. L’accumulation progressive de granules de pigments peut entraîner une élévation de la pression intraoculaire (PIO) puis, dans le cas d’une neuropathie optique glaucomateuse consécutive, une forme particulière de glaucome à angle ouvert appelée glaucome p…

À l’heure actuelle, il est désormais possible de corriger à peu près tous les patients astigmates et presbytes qui le souhaitent, soit avec des lentilles souples toriques multifocales, soit avec des lentilles rigides multifocales. Chacun sait que l’astigmatisme cornéen est facilement corrigé grâce au ménisque de larmes induit par la présence d’une lentille rigide. La qualité de vision est meilleure et surtout stable. Cela est vrai pour les astigmatismes réguliers, mais plus encore pour les astigmatismes irréguliers, qu’ils soient post-traumatiques, postchirurgie…

Le dysfonctionnement des glandes de Meibomius (DGM) représente l’une des plus fréquentes (voire la plus fréquente) des pathologies oculaires auxquelles est confronté un ophtalmologiste du XXIe siècle. La prévalence de la pathologie de la surface oculaire est considérable dans les centres ophtalmologiques de premier recours. L’arsenal thérapeutique et les outils diagnostiques ne cessant de s’enrichir, il nous semble indispensable que les ophtalmologistes soient sensibilisés à la prise en charge moderne de cette pathologie qui est potentiellement invalidante en cas de retard…

Nous rapportons ici le cas d’une patiente opérée de lasik myopique en 2012. Une retouche a été réalisée aux 2 yeux en 2014 pour régression. Dans les suites opératoires apparaît une invasion épithéliale bilatérale et la patiente est alors orientée vers notre centre.