Cette édition réunira de nombreux experts et praticiens dans le domaine de l'ophtalmologie pour explorer, via des présentations au format vidéo, les différents pôles de notre spécialité ainsi que le futur de notre discipline.
Espace liquidien entre la lentille et la cornée et rapport entre la lentille et la zone d’appui sclérale
Figure 5. Coupe en OCT (Casia, Tomey) de l’œil gauche permettant d’évaluer l’espace liquidien (croix rouge) entre la lentille et la cornée, ainsi que le rapport entre la lentille et la zone d’appui sclérale (rond jaune).
Figure 3. Après l’instillation d’une goutte de fluorescéine, l’apex du cône n’est pas visible. La lentille Rose K2, rayon 5,90 mm est donc trop serrée.
Figure 4. Cliché tardif (17 minutes) de l’angiographie à la fluorescéine OG montrant la diffusion du produit de contraste au niveau de la macula, signant l’œdème maculaire.
Figure 9. OCT OG de septembre 2018 à M4 d’Ozurdex montrant la stabilité de la disparition de l’œdème maculaire et la présence de quelques microkystes séquellaires.
Dégénérescence cellulaire endothéliale liée à l’âge
Figure 2. Dégénérescence cellulaire endothéliale liée à l’âge : diminution de la densité cellulaire endothéliale (1 000 cellules/mm2) sans anomalie visible à la lampe à fente (A) ; cornea guttata visible à la lampe à fente au grossissement 40 en conditions de réflexion spéculaire sur l’endothélium et en microscopie spéculaire (B).
Lire l'article associé Vieillissement de l’endothélium cornéen : la cornea guttata / dystrophie de Fuchs est-elle la DMLA de la cornée ?
Figure 3. Dystrophie de Fuchs. Œdème cornéen maximal au centre en lampe à fente. Épaississement de la cornée et de la membrane de Descemet qui est hyperréflective et multilamellaire en OCT.
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Cornée normale et cornée avec un déficit en cellules souches limbiques
Figure 5. Tomographie en cohérence optique d’une cornée normale et d’une cornée avec un déficit en cellules souches limbiques.
A : coupe cornéenne centrale normale ; B : coupe cornéenne centrale avec une fibrose sous-épithéliale (DCSL) ; C : coupe parallèle au limbe normal. Visualisation de nettes ondulations régulières ; D : coupe parallèle dans un DCSL. Stroma plat et hyperréflectif, recouvert par un épithélium fin.
Figure 4. Microscopie confocale in vivo d’un patient présentant un déficit en cellules souches limbiques. Visualisation d’une fibrose sous-épithéliale.
Figure 2. Microscopie confocale in vivo d’un limbe normal. Présence de populations cellulaires distinctes. Alternance de palissades de Vogt hyperréflectives (p) et cryptes limbiques (c).
Au sein de ces nombreuses lésions hyperfluorescentes aux temps précoces avec diffusion tardive, seules trois lésions présentent une image de flux anormal néo vasculaire sur l’OCT-A segmenté au niveau de la rétine externe
La lésion apparaît comme une touffe vasculaire à flux élevé sur l’angiogramme (cercle vert). La segmentation utilisée est visible sur l’OCT B-scan en haut à droite (ligne verte). L’OCT B-scan avec signal de flux (points rouges) en bas, montre que le flux au sein de la lésion est intrarétinien et provient du plexus capillaire profond (flèche verte)
A.Fond d’œil droit : taches blanches visibles au pôle postérieur (flèches blanches) avec l’aspect granité de la macula (flèche jaune). B. OCT-Spectral domain : amincissement de la bande ellipsoïde.
A. Sclérite antérieure localisée.
B. Atteinte cornéenne associée à une sclérite antérieure. C. Sclérite nécrosante. D. Sclérite nodulaire.
Figure. A. Sclérite antérieure localisée. Notez l’aspect rouge sombre et la disposition non radiaire des vaisseaux.
B. Atteinte cornéenne associée à une sclérite antérieure (la flèche blanche montre un infiltrat périphérique). L’atteinte cornéenne est à considérer comme un signe de gravité.
C. Sclérite nécrosante. Une zone désignée par la flèche noire met en évidence une zone arrondie dépourvue de vaisseaux épiscléraux témoignant de l’occlusion capillaire et du caractère nécrosant de la sclérite.
D. Sclérite nodulaire. Le nodule est visible, en relief. La visualisation du relief peut être facilitée par un examen en fente fine.
Figure 3. Après l’instillation d’une goutte de fluorescéine, l’apex du cône n’est pas visible. La lentille Rose K2, rayon 5,90 mm est donc trop serrée.
Espace liquidien entre la lentille et la cornée et rapport entre la lentille et la zone d’appui sclérale
Figure 5. Coupe en OCT (Casia, Tomey) de l’œil gauche permettant d’évaluer l’espace liquidien (croix rouge) entre la lentille et la cornée, ainsi que le rapport entre la lentille et la zone d’appui sclérale (rond jaune).
Figure 3. Après l’instillation d’une goutte de fluorescéine, l’apex du cône n’est pas visible. La lentille Rose K2, rayon 5,90 mm est donc trop serrée.
Espace liquidien entre la lentille et la cornée et rapport entre la lentille et la zone d’appui sclérale
Figure 5. Coupe en OCT (Casia, Tomey) de l’œil gauche permettant d’évaluer l’espace liquidien (croix rouge) entre la lentille et la cornée, ainsi que le rapport entre la lentille et la zone d’appui sclérale (rond jaune).
Figure 9. OCT OG de septembre 2018 à M4 d’Ozurdex montrant la stabilité de la disparition de l’œdème maculaire et la présence de quelques microkystes séquellaires.
Figure 9. OCT OG de septembre 2018 à M4 d’Ozurdex montrant la stabilité de la disparition de l’œdème maculaire et la présence de quelques microkystes séquellaires.
Figure 4. Cliché tardif (17 minutes) de l’angiographie à la fluorescéine OG montrant la diffusion du produit de contraste au niveau de la macula, signant l’œdème maculaire.
Figure 9. OCT OG de septembre 2018 à M4 d’Ozurdex montrant la stabilité de la disparition de l’œdème maculaire et la présence de quelques microkystes séquellaires.
Figure 4. Cliché tardif (17 minutes) de l’angiographie à la fluorescéine OG montrant la diffusion du produit de contraste au niveau de la macula, signant l’œdème maculaire.
Figure 9. OCT OG de septembre 2018 à M4 d’Ozurdex montrant la stabilité de la disparition de l’œdème maculaire et la présence de quelques microkystes séquellaires.
Figure 4. Cliché tardif (17 minutes) de l’angiographie à la fluorescéine OG montrant la diffusion du produit de contraste au niveau de la macula, signant l’œdème maculaire.
Figure 4. Cliché tardif (17 minutes) de l’angiographie à la fluorescéine OG montrant la diffusion du produit de contraste au niveau de la macula, signant l’œdème maculaire.
Figure 9. OCT OG de septembre 2018 à M4 d’Ozurdex montrant la stabilité de la disparition de l’œdème maculaire et la présence de quelques microkystes séquellaires.
Figure 4. Cliché tardif (17 minutes) de l’angiographie à la fluorescéine OG montrant la diffusion du produit de contraste au niveau de la macula, signant l’œdème maculaire.
Figure 9. OCT OG de septembre 2018 à M4 d’Ozurdex montrant la stabilité de la disparition de l’œdème maculaire et la présence de quelques microkystes séquellaires.
Figure 4. Cliché tardif (17 minutes) de l’angiographie à la fluorescéine OG montrant la diffusion du produit de contraste au niveau de la macula, signant l’œdème maculaire.
Figure 3. Dystrophie de Fuchs. Œdème cornéen maximal au centre en lampe à fente. Épaississement de la cornée et de la membrane de Descemet qui est hyperréflective et multilamellaire en OCT.
Figure 3. Dystrophie de Fuchs. Œdème cornéen maximal au centre en lampe à fente. Épaississement de la cornée et de la membrane de Descemet qui est hyperréflective et multilamellaire en OCT.
Dégénérescence cellulaire endothéliale liée à l’âge
Figure 2. Dégénérescence cellulaire endothéliale liée à l’âge : diminution de la densité cellulaire endothéliale (1 000 cellules/mm2) sans anomalie visible à la lampe à fente (A) ; cornea guttata visible à la lampe à fente au grossissement 40 en conditions de réflexion spéculaire sur l’endothélium et en microscopie spéculaire (B).
Dégénérescence cellulaire endothéliale liée à l’âge
Figure 2. Dégénérescence cellulaire endothéliale liée à l’âge : diminution de la densité cellulaire endothéliale (1 000 cellules/mm2) sans anomalie visible à la lampe à fente (A) ; cornea guttata visible à la lampe à fente au grossissement 40 en conditions de réflexion spéculaire sur l’endothélium et en microscopie spéculaire (B).
Figure 2. Microscopie confocale in vivo d’un limbe normal. Présence de populations cellulaires distinctes. Alternance de palissades de Vogt hyperréflectives (p) et cryptes limbiques (c).
Figure 4. Microscopie confocale in vivo d’un patient présentant un déficit en cellules souches limbiques. Visualisation d’une fibrose sous-épithéliale.
Cornée normale et cornée avec un déficit en cellules souches limbiques
Figure 5. Tomographie en cohérence optique d’une cornée normale et d’une cornée avec un déficit en cellules souches limbiques.
A : coupe cornéenne centrale normale ; B : coupe cornéenne centrale avec une fibrose sous-épithéliale (DCSL) ; C : coupe parallèle au limbe normal. Visualisation de nettes ondulations régulières ; D : coupe parallèle dans un DCSL. Stroma plat et hyperréflectif, recouvert par un épithélium fin.
Figure 2. Microscopie confocale in vivo d’un limbe normal. Présence de populations cellulaires distinctes. Alternance de palissades de Vogt hyperréflectives (p) et cryptes limbiques (c).
Cornée normale et cornée avec un déficit en cellules souches limbiques
Figure 5. Tomographie en cohérence optique d’une cornée normale et d’une cornée avec un déficit en cellules souches limbiques.
A : coupe cornéenne centrale normale ; B : coupe cornéenne centrale avec une fibrose sous-épithéliale (DCSL) ; C : coupe parallèle au limbe normal. Visualisation de nettes ondulations régulières ; D : coupe parallèle dans un DCSL. Stroma plat et hyperréflectif, recouvert par un épithélium fin.
Figure 2. Microscopie confocale in vivo d’un limbe normal. Présence de populations cellulaires distinctes. Alternance de palissades de Vogt hyperréflectives (p) et cryptes limbiques (c).
Figure 4. Microscopie confocale in vivo d’un patient présentant un déficit en cellules souches limbiques. Visualisation d’une fibrose sous-épithéliale.
Cornée normale et cornée avec un déficit en cellules souches limbiques
Figure 5. Tomographie en cohérence optique d’une cornée normale et d’une cornée avec un déficit en cellules souches limbiques.
A : coupe cornéenne centrale normale ; B : coupe cornéenne centrale avec une fibrose sous-épithéliale (DCSL) ; C : coupe parallèle au limbe normal. Visualisation de nettes ondulations régulières ; D : coupe parallèle dans un DCSL. Stroma plat et hyperréflectif, recouvert par un épithélium fin.
Figure 2. Microscopie confocale in vivo d’un limbe normal. Présence de populations cellulaires distinctes. Alternance de palissades de Vogt hyperréflectives (p) et cryptes limbiques (c).
Figure 4. Microscopie confocale in vivo d’un patient présentant un déficit en cellules souches limbiques. Visualisation d’une fibrose sous-épithéliale.
Cornée normale et cornée avec un déficit en cellules souches limbiques
Figure 5. Tomographie en cohérence optique d’une cornée normale et d’une cornée avec un déficit en cellules souches limbiques.
A : coupe cornéenne centrale normale ; B : coupe cornéenne centrale avec une fibrose sous-épithéliale (DCSL) ; C : coupe parallèle au limbe normal. Visualisation de nettes ondulations régulières ; D : coupe parallèle dans un DCSL. Stroma plat et hyperréflectif, recouvert par un épithélium fin.
Figure 4. Microscopie confocale in vivo d’un patient présentant un déficit en cellules souches limbiques. Visualisation d’une fibrose sous-épithéliale.
A. Sclérite antérieure localisée.
B. Atteinte cornéenne associée à une sclérite antérieure. C. Sclérite nécrosante. D. Sclérite nodulaire.
Figure. A. Sclérite antérieure localisée. Notez l’aspect rouge sombre et la disposition non radiaire des vaisseaux.
B. Atteinte cornéenne associée à une sclérite antérieure (la flèche blanche montre un infiltrat périphérique). L’atteinte cornéenne est à considérer comme un signe de gravité.
C. Sclérite nécrosante. Une zone désignée par la flèche noire met en évidence une zone arrondie dépourvue de vaisseaux épiscléraux témoignant de l’occlusion capillaire et du caractère nécrosant de la sclérite.
D. Sclérite nodulaire. Le nodule est visible, en relief. La visualisation du relief peut être facilitée par un examen en fente fine.
Cette édition réunira de nombreux experts et praticiens dans le domaine de l'ophtalmologie pour explorer, via des présentations au format vidéo, les différents pôles de notre spécialité ainsi que le futur de notre discipline.