Echographie

Par "petit œil", il faut entendre un œil paraissant peu volumineux car partiellement masqué par une ptôse palpébrale supérieure ou ptôsis. Cela découle d'un affaissement palpébral et sourcilier lié à l'âge. Il est d'autant plus inesthétique que le visage est "court" et sa correction est une étape essentielle de l'amélioration du regard demandée par les patients. Rechercher un ptôsis sera systématique lors d'une demande de correction du regard. Connaître les différentes techniques et indications aidera, en complément éventuel du traitement des creux et…

La chute de la queue du sourcil, de l'angle externe de la paupière et le relâchement cutanéo-musculaire de la paupière supérieure font partie intégrante du vieillissement physiologique du haut du visage. Des gestes médicaux simples et réversibles peuvent être effectués, comme des gestes chirurgicaux plus invasifs afin d'ouvrir le regard. De nombreuses techniques sont aujourd'hui à la disposition des médecins et des patients pour corriger ces effets de l'âge.

L'œil creux ou plutôt l'œil "en creux" est défini par la perte du galbe palpébral en rapport avec une atrophie tissulaire cutanée, musculaire et graisseuse périorbitaire liée au vieillissement, constitutionnelle ou secondaire à une blépharoplastie. Demande fréquente de chirurgie rajeunissante du regard, ses résultats ont été transformés par la lipostructure.

L'œil globuleux occupe une place à part dans la prise en charge chirurgicale du regard. On entend par œil globuleux un œil protrus, voire exophtalme. En général, l'équateur oculaire se projette en avant du rebord orbitaire. On note souvent une région prémaxillaire osseuse peu développée ou peu projetée et une petite orbite expliquant cette dysharmonie contenu-contenant. Cette situation peut être constitutionnelle (essentielle) ou acquise comme dans l'exophtalmie dysthyroïdienne. Certaines règles chirurgicales s'appliquent à cette anatomie particulière lors d'une…

Une patiente de 76 ans se présente à la consultation pour une baisse d'acuité visuelle progressive de l'œil droit (OD) apparue depuis quelques semaines. Elle présente comme antécédent ophtalmologique une baisse d'acuité visuelle ancienne de l'œil gauche (OG). L'interrogatoire retrouve une notion de DMLA non étiquetée chez la mère de la patiente.