Echographie
Vous êtes nombreux à épargner pour votre retraite, en plus des cotisations payées à la CARMF. Vous utilisez un contrat de retraite dit « Madelin » ou/et un PERP (Plan Epargne Retraite Populaire). Vous êtes même peut-être déjà passé à la nouvelle enveloppe venant remplacer définitivement les 2 produits cités ci-dessus : un PER individuel (Plan Epargne Retraite Individuel) mis en place par la loi Pacte du 22 mai 2019. Tous ces produits ont, entre autres, comme point commun de voir leurs cotisations déduites de votre impôt sur le revenu, donc à la clef une économie d’impôt.…
Le préalable à toute chirurgie réfractive est le dépistage topographique d’un éventuel kératocône (KC) lors du bilan préopératoire pour limiter le risque d’ectasie postlaser (EPL). L’incidence de l’EPL reste faible, estimée entre 0,04 et 0,6% selon les études publiées, mais cela demeure une complication potentiellement grave, pouvant entraîner une baisse de meilleure acuité visuelle corrigée. Détecter une forme suspecte de KC (forme frontière entre cornée normale et KC avéré) n’est pas toujours facile et, de nos jours, cela implique obligatoirement l’acquisition…
La maladie de Parkinson est un syndrome neurologique caractérisé par une difficulté d’exécution des mouvements incluant un ralentissement, une rigidité, des tremblements, ainsi qu’une instabilité posturale. La cause de la maladie est inconnue et celle-ci a été définie comme étant une maladie neurodégénérative liée à l’âge. Dans les pays industrialisés, la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est la principale cause de baisse de vision chez les patients âgés. Cette maladie se traduit par une altération de la rétine externe dont le principal facteur de…
L’œdème maculaire diabétique (OMD) est l’une des causes les plus fréquentes de baisse d’acuité visuelle (AV) chez le patient diabétique. Sa prévalence est de 7%. L’objectif de cet article est de présenter les altérations inflammatoires en rapport avec la rétinopathie diabétique (RD) et de synthétiser la littérature permettant d’évaluer les biomarqueurs d’imagerie qui pourraient orienter en première intention vers un traitement par corticoïdes (CT) plutôt que par anti-VEGF et que l’on qualifierait alors de biomarqueurs de l’inflammation.
Nous étudions le cas d’une patiente âgée de 75 ans présentant une hypertonie oculaire bilatérale connue. Elle ne présente pas d’antécédents médico-chirurgicaux personnels et familiaux, à l’exception d’une hypercholestérolémie non traitée. Récemment installée dans notre région, la patiente se présente en 2015 à notre consultation pour être suivie au sein de notre cabinet.
