Le professeur Arnaud Sauer et son équipe pédagogique de l'université de Strasbourg (soutenus par CooperVision, Essilor, Topcon Healthcare, Precilens et Santen), mettent en place un « atelier universitaire sur la myopie de l’enfant » destiné aux ophtalmologistes ou internes en ophtalmologie. Celui-ci, certifié Qualiopi, se déroulera en deux sessions de deux jours (les 12-13 juin et les 16-17 octobre) dédiées au diagnostic et à la prise en charge de la myopie de l'enfant et combinera apports théoriques et ateliers pratiques. La formation doit ainsi permettre : de décrire l’épidémiologie de la myopie de l’enfant et de ses complications futures, d’organiser la consultation dédiée à la myopie de l’enfant, de connaître les différentes techniques de freination et leurs indications, de maîtriser la prescription et le suivi des verres de freination ou de l’atropine et de s’initier aux bases de l’adaptation aux lentilles de freination de la myopie.
La troisième édition du congrès Marseille ophtalmologie nouveautés en thérapeutique et imagerie (Monti) se déroulera une nouvelle fois au palais du Pharo.
le thème central portera sur les innovations et les controverses dans nos domaines d’expertises respectifs. Cette édition promet de vous apporter tous les outils, nouveautés et données scientifiques, avec comme objectif premier de proposer à nos patients jeunes et âgés, le meilleur suivi ophtalmologique qu’il soit.
Complications rétiniennes de la myopie forte : place et limites de la chirurgie
Figure 2. Schisis maculaire myopique en imagerie OCT ultra grand champ objectivant l’adhérence pathologique du vitré, avec des tractions exercées sur les vaisseaux rétiniens (tête de flèche), et l’étirement de la rétine externe maculaire associé à un détachement fovéolaire (flèche).
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Chirurgie des trous maculaires : indications et techniques
Figure 3. Patient de 36 ans opéré d’un décollement de la rétine par dialyse à l’ora – cryo-indentation – en 2010, puis récidive avec TM, opéré par vitrectomie pelage de MLI et C2F6 en 2012. Réapplication de la rétine sans fermeture du TM. Le patient est ensuite perdu de vue pendant 10 ans et revient avec ce tableau de décollement de rétine total par TM géant (en haut à gauche) mesuré à 2 500 microns plusieurs années auparavant (en haut à droite). Il est réalisé une autogreffe de rétine avec C3F8 pour combler le trou et réappliquer la rétine. L’aspect anatomique postopératoire est satisfaisant, avec un site de prélèvement en temporal supérieur (en bas à gauche) et un greffon en continuité avec la rétine receveuse (en bas à droite). L’acuité est à CLD.
Figure 3. Abcès à staphylocoque doré répondant aux critères de sévérité 1+2+3 : Tyndall supérieur à 1+, à moins de 2 mm du centre, taille supérieure à 3 mm.
Figure 3. RetInSight Fluid monitor : exemple d’un rapport PDF généré par le module Fluid Monitor de RetInSight. Cette figure illustre un cas de récidive exsudative d’une DMLA néovasculaire, mettant en évidence une majoration des volumes – mesurés en nL – dans les compartiments intrarétiniens et sous-rétiniens et du décollement de l’épithélium pigmentaire[15].
Histoire naturelle des décollements de l’épithélium pigmentaire dans la DMLA
Figure 4. Exemple de DEP drusénoïde compliqué d’une néovascularisation maculaire de type 3. A-D : Les OCT successifs montrent une augmentation progressive de la hauteur et de la largeur du DEP drusénoïde, associée à l’apparition de points hyperréflectifs et à une interruption de la ligne de l’épithélium pigmentaire. E-F : Développement d’un néovaisseau maculaire de type 3 au niveau de l’apex du DEP drusénoïde, avec la présence de logettes intrarétiniennes et d’un signal de flux vertical en OCT-A.
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Intérêt du traitement immunosuppresseur dans les choroïdites multifocales
Figure 3. Jeune femme 29 ans, avec une faible myopie, sans antécédents. Scotome central gauche avec acuité à « compte les doigts ». Présence d’une lésion jaunâtre maculaire (D) correspondant à une lésion hyperréflective en OCT (E) avec interruption de la ligne ellipsoïde et de l’épithélium pigmentaire et hypertransmission postérieure. L’angiographie à la fluorescéine (A) montre une très minime diffusion. En angiographie au vert d’indocyanine (B), la lésion reste hypofluorescente jusqu’aux temps tardifs, l’OCT-angiographie Plexelite (C) exclut la présence d’un flux au sein de la lésion. Il s’agit donc d’une PIC maculaire sans complication néovasculaire traitée par corticoïdes et azathioprine, avec une évolution vers l’invagination du complexe Bruch-épithélium pigmentaire (G) vers la choroïde et un espace hyporéflectif en avant. La vision remonte à 8/10.
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Cataractes sur pupilles difficiles et sacs capsulaires compromis
Figure 3. En haut à gauche. Mise en place de 4 crochets de rétraction iriens avec utilisation de la lampe à fente pour mieux voir le cristallin en raison d’une cataracte dense sur kératoplastie. En haut à droite. Une cornée opaque est contournée par l’usage de la lampe à fente en orientation oblique et fente demi-fine. En bas. Utilisation d’anneaux de dilatation iriens et de la lampe à fente pour une cataracte dense sur pupille peu dilatable.
Figure 2. Image à la fluorescéine lors de la première pose, la lentille est sphérique à droite (A) et torique à gauche (B). Les photos sont prises après 3 minutes d’occlusion, puis 1 minute de clignement spontané, pour interpréter l’image sans bulle.
Rétinopathie diabétique proliférante à haut risque : comment gérer ?
Figure. Patiente de 48 ans prise en charge au CHU de Bordeaux. A. Stade initial : RDPHR (hémorragie rétrohyaloïdienne et intravitréenne). B. PPR effectuée de façon concomitante avec des injections d’anti-VEGF, avec présence d’une hémorragie intravitréenne résiduelle. C. RDP stabilisée avec PPR complète et résolution de l’hémorragie intravitréenne sans chirurgie avec la combinaison PPR + IVT d’anti-VEGF.
Figure 4. Images retrouvées en microscopie confocale des troncs stromaux 6 mois après un Smile ou un Lasik. Le processus de régénération n’est pas encore terminé et les troncs stromaux apparaissent défasciculés (A) ou fins et tortueux (B).
Figure 3. Images en microscopie confocale du plexus nerveux sous-basal chez un patient avant chirurgie (A) et à 1 mois (B) après un Lasik. La densité de l’innervation est inférieure à 1 mois par rapport à celle retrouvée après un Smile.
Figure 1. Innervation cornéenne vue en microscopie confocale – souris transgénique exprimant une protéine fluorescente dans les axones cornéens. A. Vue de face. Les différentes couleurs correspondent à différents types de fibres. B. Vue en coupe. Les terminaisons libres peptidergiques sont bien visibles dans l’épithélium coloré en bleu.
Figure 5. A. Examen biomicroscopique après instillation de fluorescéine. Sécheresse oculaire sévère à 8 mois d’une procédure Lasik associée à des douleurs de type neuropathique. B. Image en microscopie confocale objectivant la présence de névromes pouvant expliquer une partie des symptômes.
Figure 3. Trans-PKR : désépithélisation au laser Excimer uniquement dans la zone bénéficiant de la photoablation réfractive secondairement. L’aire désépithélialisée est donc plus restreinte que dans la PKR classique.
Plasties pupillaires : principales techniques et clés chirurgicales
Figure 3. Réparation d’une iridodialyse par la technique de raccrochage ou « hang-back ». A. Aspect préopératoire d’une iridodialyse étendue sur 180°. B. Deux fils de polypropylène 10-0 doublement sertis sont passés dans le stroma irien et ressortis sous les volets scléraux préalablement réalisés. C. Les nœuds sont serrés et l’iris est réamarré à la sclère sous les volets qui sont ensuite suturés. D. Aspect postopératoire.
Plasties pupillaires : principales techniques et clés chirurgicales
Figure 2. Réparation d’une mydriase paralytique par la technique du lasso. A. Aspect préopératoire d’une mydriase paralytique sans défect irien. B. Multiples passages d’un fil de polypropylène 10-0 à travers le stroma irien sur tout son diamètre. C. Le lasso est serré et maintenu par un nœud coulissant afin de fermer la pupille. D. Aspect postopératoire.
Quand et comment prescrire un traitement des paupières par lumière pulsée ?
Figure 2. Meibographie en transillumination avec le C-Diag® (clichés Dr Marty) : inflammation stade 0 à gauche (absence de télangiectasie) et stade 4 à droite (télangiectasies profondes).
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Figure 2. Schisis maculaire myopique en imagerie OCT ultra grand champ objectivant l’adhérence pathologique du vitré, avec des tractions exercées sur les vaisseaux rétiniens (tête de flèche), et l’étirement de la rétine externe maculaire associé à un détachement fovéolaire (flèche).
Figure 2. Schisis maculaire myopique en imagerie OCT ultra grand champ objectivant l’adhérence pathologique du vitré, avec des tractions exercées sur les vaisseaux rétiniens (tête de flèche), et l’étirement de la rétine externe maculaire associé à un détachement fovéolaire (flèche).
Figure 3. Patient de 36 ans opéré d’un décollement de la rétine par dialyse à l’ora – cryo-indentation – en 2010, puis récidive avec TM, opéré par vitrectomie pelage de MLI et C2F6 en 2012. Réapplication de la rétine sans fermeture du TM. Le patient est ensuite perdu de vue pendant 10 ans et revient avec ce tableau de décollement de rétine total par TM géant (en haut à gauche) mesuré à 2 500 microns plusieurs années auparavant (en haut à droite). Il est réalisé une autogreffe de rétine avec C3F8 pour combler le trou et réappliquer la rétine. L’aspect anatomique postopératoire est satisfaisant, avec un site de prélèvement en temporal supérieur (en bas à gauche) et un greffon en continuité avec la rétine receveuse (en bas à droite). L’acuité est à CLD.
Figure 3. Patient de 36 ans opéré d’un décollement de la rétine par dialyse à l’ora – cryo-indentation – en 2010, puis récidive avec TM, opéré par vitrectomie pelage de MLI et C2F6 en 2012. Réapplication de la rétine sans fermeture du TM. Le patient est ensuite perdu de vue pendant 10 ans et revient avec ce tableau de décollement de rétine total par TM géant (en haut à gauche) mesuré à 2 500 microns plusieurs années auparavant (en haut à droite). Il est réalisé une autogreffe de rétine avec C3F8 pour combler le trou et réappliquer la rétine. L’aspect anatomique postopératoire est satisfaisant, avec un site de prélèvement en temporal supérieur (en bas à gauche) et un greffon en continuité avec la rétine receveuse (en bas à droite). L’acuité est à CLD.
Figure 3. Abcès à staphylocoque doré répondant aux critères de sévérité 1+2+3 : Tyndall supérieur à 1+, à moins de 2 mm du centre, taille supérieure à 3 mm.
Figure 3. Abcès à staphylocoque doré répondant aux critères de sévérité 1+2+3 : Tyndall supérieur à 1+, à moins de 2 mm du centre, taille supérieure à 3 mm.
Figure 3. Abcès à staphylocoque doré répondant aux critères de sévérité 1+2+3 : Tyndall supérieur à 1+, à moins de 2 mm du centre, taille supérieure à 3 mm.
Figure 3. Abcès à staphylocoque doré répondant aux critères de sévérité 1+2+3 : Tyndall supérieur à 1+, à moins de 2 mm du centre, taille supérieure à 3 mm.
Figure 3. Jeune femme 29 ans, avec une faible myopie, sans antécédents. Scotome central gauche avec acuité à « compte les doigts ». Présence d’une lésion jaunâtre maculaire (D) correspondant à une lésion hyperréflective en OCT (E) avec interruption de la ligne ellipsoïde et de l’épithélium pigmentaire et hypertransmission postérieure. L’angiographie à la fluorescéine (A) montre une très minime diffusion. En angiographie au vert d’indocyanine (B), la lésion reste hypofluorescente jusqu’aux temps tardifs, l’OCT-angiographie Plexelite (C) exclut la présence d’un flux au sein de la lésion. Il s’agit donc d’une PIC maculaire sans complication néovasculaire traitée par corticoïdes et azathioprine, avec une évolution vers l’invagination du complexe Bruch-épithélium pigmentaire (G) vers la choroïde et un espace hyporéflectif en avant. La vision remonte à 8/10.
Figure 3. En haut à gauche. Mise en place de 4 crochets de rétraction iriens avec utilisation de la lampe à fente pour mieux voir le cristallin en raison d’une cataracte dense sur kératoplastie. En haut à droite. Une cornée opaque est contournée par l’usage de la lampe à fente en orientation oblique et fente demi-fine. En bas. Utilisation d’anneaux de dilatation iriens et de la lampe à fente pour une cataracte dense sur pupille peu dilatable.
Figure 2. Image à la fluorescéine lors de la première pose, la lentille est sphérique à droite (A) et torique à gauche (B). Les photos sont prises après 3 minutes d’occlusion, puis 1 minute de clignement spontané, pour interpréter l’image sans bulle.
Figure 2. Image à la fluorescéine lors de la première pose, la lentille est sphérique à droite (A) et torique à gauche (B). Les photos sont prises après 3 minutes d’occlusion, puis 1 minute de clignement spontané, pour interpréter l’image sans bulle.
Figure 1. Innervation cornéenne vue en microscopie confocale – souris transgénique exprimant une protéine fluorescente dans les axones cornéens. A. Vue de face. Les différentes couleurs correspondent à différents types de fibres. B. Vue en coupe. Les terminaisons libres peptidergiques sont bien visibles dans l’épithélium coloré en bleu.
Figure 5. A. Examen biomicroscopique après instillation de fluorescéine. Sécheresse oculaire sévère à 8 mois d’une procédure Lasik associée à des douleurs de type neuropathique. B. Image en microscopie confocale objectivant la présence de névromes pouvant expliquer une partie des symptômes.
Figure 3. Images en microscopie confocale du plexus nerveux sous-basal chez un patient avant chirurgie (A) et à 1 mois (B) après un Lasik. La densité de l’innervation est inférieure à 1 mois par rapport à celle retrouvée après un Smile.
Figure 1. Innervation cornéenne vue en microscopie confocale – souris transgénique exprimant une protéine fluorescente dans les axones cornéens. A. Vue de face. Les différentes couleurs correspondent à différents types de fibres. B. Vue en coupe. Les terminaisons libres peptidergiques sont bien visibles dans l’épithélium coloré en bleu.
Figure 5. A. Examen biomicroscopique après instillation de fluorescéine. Sécheresse oculaire sévère à 8 mois d’une procédure Lasik associée à des douleurs de type neuropathique. B. Image en microscopie confocale objectivant la présence de névromes pouvant expliquer une partie des symptômes.
Figure 4. Images retrouvées en microscopie confocale des troncs stromaux 6 mois après un Smile ou un Lasik. Le processus de régénération n’est pas encore terminé et les troncs stromaux apparaissent défasciculés (A) ou fins et tortueux (B).
Figure 3. Images en microscopie confocale du plexus nerveux sous-basal chez un patient avant chirurgie (A) et à 1 mois (B) après un Lasik. La densité de l’innervation est inférieure à 1 mois par rapport à celle retrouvée après un Smile.
Figure 5. A. Examen biomicroscopique après instillation de fluorescéine. Sécheresse oculaire sévère à 8 mois d’une procédure Lasik associée à des douleurs de type neuropathique. B. Image en microscopie confocale objectivant la présence de névromes pouvant expliquer une partie des symptômes.
Figure 4. Images retrouvées en microscopie confocale des troncs stromaux 6 mois après un Smile ou un Lasik. Le processus de régénération n’est pas encore terminé et les troncs stromaux apparaissent défasciculés (A) ou fins et tortueux (B).
Figure 1. Innervation cornéenne vue en microscopie confocale – souris transgénique exprimant une protéine fluorescente dans les axones cornéens. A. Vue de face. Les différentes couleurs correspondent à différents types de fibres. B. Vue en coupe. Les terminaisons libres peptidergiques sont bien visibles dans l’épithélium coloré en bleu.
Figure 4. Images retrouvées en microscopie confocale des troncs stromaux 6 mois après un Smile ou un Lasik. Le processus de régénération n’est pas encore terminé et les troncs stromaux apparaissent défasciculés (A) ou fins et tortueux (B).
Figure 3. Images en microscopie confocale du plexus nerveux sous-basal chez un patient avant chirurgie (A) et à 1 mois (B) après un Lasik. La densité de l’innervation est inférieure à 1 mois par rapport à celle retrouvée après un Smile.
Figure 3. Trans-PKR : désépithélisation au laser Excimer uniquement dans la zone bénéficiant de la photoablation réfractive secondairement. L’aire désépithélialisée est donc plus restreinte que dans la PKR classique.
Figure 2. Réparation d’une mydriase paralytique par la technique du lasso. A. Aspect préopératoire d’une mydriase paralytique sans défect irien. B. Multiples passages d’un fil de polypropylène 10-0 à travers le stroma irien sur tout son diamètre. C. Le lasso est serré et maintenu par un nœud coulissant afin de fermer la pupille. D. Aspect postopératoire.
Figure 3. Réparation d’une iridodialyse par la technique de raccrochage ou « hang-back ». A. Aspect préopératoire d’une iridodialyse étendue sur 180°. B. Deux fils de polypropylène 10-0 doublement sertis sont passés dans le stroma irien et ressortis sous les volets scléraux préalablement réalisés. C. Les nœuds sont serrés et l’iris est réamarré à la sclère sous les volets qui sont ensuite suturés. D. Aspect postopératoire.
Figure 2. Réparation d’une mydriase paralytique par la technique du lasso. A. Aspect préopératoire d’une mydriase paralytique sans défect irien. B. Multiples passages d’un fil de polypropylène 10-0 à travers le stroma irien sur tout son diamètre. C. Le lasso est serré et maintenu par un nœud coulissant afin de fermer la pupille. D. Aspect postopératoire.
Figure 3. Réparation d’une iridodialyse par la technique de raccrochage ou « hang-back ». A. Aspect préopératoire d’une iridodialyse étendue sur 180°. B. Deux fils de polypropylène 10-0 doublement sertis sont passés dans le stroma irien et ressortis sous les volets scléraux préalablement réalisés. C. Les nœuds sont serrés et l’iris est réamarré à la sclère sous les volets qui sont ensuite suturés. D. Aspect postopératoire.