Echographie
De nos jours, le constat d’une baisse d’acuité visuelle avec un fond d’œil normal, ou la visualisation d’une pâleur papillaire, ou encore la suspicion d’une neuropathie optique conduisent très rapidement à la prescription d’une imagerie cérébrale, sans parfois prendre le temps de lister les étiologies possibles et de rechercher les éventuels signes cliniques qui pourraient nous orienter.
La myopie — aujourd’hui considérée comme une maladie — est un trouble réfractif de plus en plus fréquent chez l’enfant, avec une prévalence en constante augmentation à l’échelle mondiale. Si la majorité des cas relève d’une myopie simple, d’évolution lente et bénigne, certaines situations doivent alerter le clinicien. En effet, une myopie survenant précocement — avant l’âge de 4 ans —, progressant rapidement ou s’accompagnant de signes atypiques peut être le symptôme révélateur d’une affection sous-jacente. Cet article propose un focus sur les…
Monsieur S., 35 ans, médecin généraliste, se présente en consultation d’ophtalmologie dans le but d’être adapté en lentilles de contact.
Le rapport « La cornée en 3D – Dégénérescences, Dystrophies et Déformations », coordonné par Pierre Fournié et David Touboul, a été présenté le 11 mai lors du congrès. Les progrès de la génétique et des moyens d’imagerie, qui se poursuivent, ont transformé les pratiques. Entretien avec Pierre Fournié, professeur des universités-praticien hospitalier, service d’ophtalmologie du CHU de Toulouse