Echographie

L'apnée obstructive du sommeil ou syndrome d'apnée du sommeil de type obstructif (SAOS) est un trouble très mal diagnostiqué par l'ensemble du corps médical, principalement par les ophtalmologistes. Pourtant beaucoup de complications ophtalmologiques sont associées au SAOS : floppy eye syndrome (FES), conjonctivite papillaire, kératite filamenteux ou infectieuse, érosions récurrentes de la cornée, kératocône, neuropathie optique, œdème papillaire, pathologie glaucomateuse, œdème maculaire diabétique...

Les forts astigmatismes se corrigent, comme tout astigmatisme, en faisant coïncider pour chaque méridien principal le foyer-image du verre correcteur avec le remotum. La correction des forts astigmatismes symétriques nécessite un dosage de la correction pour atténuer les déformations méridionales responsables d'anamorphose. La correction des forts astigmatismes asymétriques nécessite un dosage plus important de la correction pour atténuer les effets d'anamorphose, mais surtout ceux de l'anisophorie et de l'aniséiconie méridionale induits qui pénalisent la fusion.

Des résultats encourageants dans la cicatrisation cornéenne ont été constatés après utilisation de traitements innovants tels que les collyres osmoprotecteurs, les collyres de sérum autologue, riches en facteurs de croissance, ou le recours à la thérapie matricielle. Les greffes de cellules limbiques représentent les principales avancées dans le domaine chirurgical tandis que les greffes de membrane amniotique restent un traitement de choix dans la prise en charge des ulcères cornéens chroniques résistants aux traitements médicaux. Enfin, les progrès réalisés dans leurs…

L'inflammation est un facteur clef dans la pathogénie des pathologies de la surface oculaire et sa prise en charge peut s'avérer très difficile. L'utilisation de corticoïdes topiques est très fréquente malgré leurs nombreux effets secondaires. Elle reste sûre malgré les deux complications majeures que sont la cataracte et le glaucome chronique. Cet article rappelle les pathologies de la surface oculaire justifiant une corticothérapie locale et indique quand et comment utiliser les corticoïdes topiques.

Si la pharmacopée comporte autant de substituts lacrymaux, c'est bien qu'il n'y a pas qu'une seule réponse à proposer devant une sécheresse oculaire. Au-delà de l'apport hydrique,les traitements visent à réaliser une substitution plus ciblée de chaque couche du film lacrymal. Cet article présente les différentes cibles thérapeutiques. Il fait la synthèse des différents produits existants, leur nature et leurs propriétés.