Echographie
Le syndrome de flaccidité palpébrale (floppy eyelid syndrome) est une pathologie rare, voire très rare (quelques centaines de cas décrits dans la littérature mondiale), touchant dans plus de 90 % des cas un homme à partir de la cinquantaine, souvent en surpoids et volontiers insuffisant respiratoire. Unilatérale dans environ deux tiers des cas, elle peut être bilatérale (parfois de manière asymétrique) dans le reste des cas. Les symptômes présentés par les patients sont protéiformes, parfois trompeurs, le plus souvent de nature irritative avec conjonctivites à répétition et…
La grande majorité des internes s’accorde à dire qu’il s’agit d’une opportunité rare de « faire et voir autre chose » au cours des « interminables » études de médecine. En effet, le Master permet de s’imprégner d’autres modes de fonctionnement et d’autres façons de voir les choses au contact des chercheurs. Il permet également de s’ouvrir à la réflexion. L’appétence pour la recherche est donc une cause évidente tout comme l’est la volonté d’élargir ses horizons.
La douleur post-zostérienne est la complication la plus fréquente d’un zona aigu. Elle est généralement définie comme une douleur persistante au moins trois mois après le début de l’éruption même si d’autres critères notamment une douleur persistant un mois ou six mois après l’éruption, ont été proposés. La douleur post-zostérienne est une douleur neuropathique qui est définie comme une « douleur secondaire à une lésion ou une maladie affectant le système somatosensoriel ». La douleur neuropathique témoigne donc d’une véritable pathologie des systèmes…
Les pathologies chroniques plus encore que le vieillissement physiologique concourent au déclin fonctionnel des individus vieillissants et âgés. Il est mesuré sur la base de leur performance physique globale des activités instrumentales de la vie quotidienne (AIVQ) et des activités de base de la vie quotidienne (AVQ). Quand les AIVQ ou AVQ sont atteintes on parle de dépendance fonctionnelle. Le coût global de la prise en charge de cette dépendance est très élevé, sa prévention un enjeu de santé publique.
Les différents articles de ce numéro spécial des Cahiers d’Ophtalmologie, montrent à quel point le zona ophtalmique est une pathologie qui peut être sévère. Rappelons, pour mémoire, que le risque au cours d’une vie de présenter un zona, toutes localisations confondues est d’environ 25%, ce qui porte le risque de zona ophtalmique à environ 4%. Si aucune solution réellement préventive n’est mise en place, il est même probable que ce risque ne fasse que croître dans l’avenir compte tenu de l’augmentation de l’espérance de vie.
