Echographie
Des experts de la chirurgie vitréo-rétinienne, jeunes et moins jeunes, nous donnent leur prise en charge type, devant plusieurs cas cliniques représentatifs, avec des questions techniques de détail, mais ô combien importantes, sur la manière d’indenter ou non une périphérie rétinienne en sans suture, l’utilisation ou non des perfluorocarbones liquides en peropératoire, la prévention du pli rétinien maculaire, l’injection moins aisée des huiles de silicone avec les tubulures 25 et 27 Gauge. Et vous qu’auriez-vous répondu à ces questions ?
Devant une paralysie du III ou nerf oculomoteur (ancien nerf moteur oculaire commun), se pose toujours la question de l’urgence de la réalisation d’une imagerie. Si certains tableaux cliniques sont très évocateurs d’une fissuration anévrysmale ou d’une apoplexie pituitaire redoutées et qui doivent être imagées en extrême urgence, d’autres moins évidents nécessitent une analyse soigneuse pour décider du bilan et de son degré d’urgence.
La présence de décollements de l’épithélium pigmentaire associés à la DMLA est classiquement associée à un moins bon pronostic visuel chez les patients. Mais sont-ils vraiment de mauvais pronostic et pourquoi ? Existe-t-il des facteurs prédictifs de complication ou d’évolution ? Quelle est la thérapeutique la plus adaptée ? Autant de questions auxquelles cet article répond.
Nous sommes confrontés dans notre pays, à un problème concernant la contactologie française. L’adaptation des lentilles de contact est toujours, malgré quelques remous dans certains milieux de l’optique, considérée comme un acte médical réalisé sous la responsabilité d’un ophtalmologiste.
Avec une même prescription, le changement de monture chez le fort myope peut occasionner une perte de performances visuelles. L’angle d’inclinaison de la monture peut induire une aberration astigmate qui vient s’ajouter à la forte amétropie.
