Figure 6. Implant de bimatoprost inséré sous forme d’anneau dans les culs-de-sac conjonctivaux, permettant une réduction de la PIO pendant plusieurs mois.
Figure 4. Œil droit opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis. La PIO est normale et la cornée claire. Noter la correctopie et le remaniement conjonctival liés à la chirurgie.
Figure 3. OCT spectral domain de l’œil gauche. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descémétique du greffon ont un aspect normal 19 ans après la greffe. On note néanmoins une variabilité de l’épaisseur épithéliale, fréquente après une greffe.
Ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab)
Figure 2. Cornée périphérique de l’œil gauche. Les ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab) sont bien visibles alors que le greffon présente une membrane de Descemet intacte.
Figure 1. Œil gauche opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis et 19 ans plus tôt d’une kératoplastie transfixiante. Le greffon cornéen reste clair et la PIO est normale.
Figure 5. OCT spectral domain de l’œil droit non greffé. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descemétique du greffon ont un aspect normal.
Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe
Figure 2. Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe (accident professionnel par disque de meuleuse). Remerciements au Pr Harold Merle.
OCT cornéen préopératoire suite à un traumatisme cornéen transfixiant d’origine végétale
Figure 2. OCT cornéen préopératoire du patient de 17 ans ayant subi un traumatisme cornéen transfixiant d’origine végétale.
A. Hyperréflectivité cornéenne mettant en évidence le caractère transfixiant de la plaie B. Hyperréflectivité rétro- et prédescemétique mettant en évidence l’infiltrat postérieur C. Hyporéflectivité arrondie rétrocornéenne mettant en évidence le CE (flèche orange).
Figure 1. Patient de 17 ans ayant subi un traumatisme cornéen transfixiant d’origine végétale avec une acuité visuelle conservée à 10/10. A. Plaie cornéenne transfixiante avec infiltrat postérieur B. Plaie auto-étanche avec absence de Seidel à l’instillation de fluorescéine C. à J7 apparition d’un granulome inflammatoire rétrocornéen à 5h D. Corps étranger (CE) dans l’angle irido-cornéen visible en gonioscopie E. Disparition du granulome inflammatoire rétrocornéen après ablation chirurgicale du CE F. Gonioscopie postopératoire mettant en évidence des synéchies irido-cornéennes cicatricielles.
Mise en évidence d’une large plaie sclérolimbique supérieure
Figure 3. Exploration de la plaie au bloc opératoire : mise en évidence d’une large plaie sclérolimbique supérieure masquée initialement par le chémosis hémorragique.
Forte suspicion de plaie pénétrante du globe oculaire
Figure 2. Examen à la lampe à fente après instillation de fluoresceine œil gauche présentant un signe de Seidel conjonctival : forte suspicion de plaie pénétrante du globe oculaire.
Les douleurs accompagnant sa kératite en bandelette (A) ont cédé à la pose d’une lentille en lotrafilcon de puissance nulle et de rayon 8,40 (B). Après 4 ans, l’état de surface cornéen s’est nettement amélioré (C).
Adaptation de lentilles sclérales ICD d’un diamètre de 16,5 avec une flèche de 4 300 µ.
L’appui conjonctival au bord étant serré avec un arrêt de circulation capillaire et un aspect de blanchiment (A), l’ouverture du rayon scléral (SLZ pour scleral landing zone) de -3 puis de -5 rend le port moins inconfortable (B). Malgré une mouillabilité insuffisante (C), les lentilles portées permettent une réhabilitation visuelle (2/10 OD et 5/10 OG) et la récupération d’une surface cornéenne beaucoup moins inflammatoire.
Lésion pseudo-dendritique (A). Une semaine après mise en place du traitement, la topographie de l’ulcération s’est modifiée : plus étendue et sans pseudo-dendrites, avec persistance de la sensation douloureuse (B). La pose d’une lentille Senofilcon de Ro 8,4 et de puissance nulle a permis en 48 heures la cicatrisation complète (C et D).
Pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F)
La pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F) permet d’atténuer l’état inflammatoire cornéen, l’état trophique de la surface s’améliore (G et H).
Marianne, 95 ans, ne perçoit plus que les mouvements
DMLA (A et B), glaucome actuellement agonique (C), entropion (D, flèche), kératite chronique avec des néovaisseaux et une épithélialisation cornéens à gauche (E), ainsi que des précipités descémétiques pendant les poussées inflammatoires.
Figure 2. SD-OCT de l’œil droit d’un patient atteint de télengiectasies maculaires de type 2. On voit les cavités hyporéflectives associées à une interruption des couches externes de la rétine en temporal de la fovéa.
Figure 3. Patient présentant un syndrome de pachychoroïde péripapillaire ; A. Cliché en autofluorescence de l’œil gauche montrant une hyperfluorescence à disposition péripapillaire (flèches jaunes) ; B. SD-OCT maculaire du même œil (la ligne verte indique la hauteur de coupe) mettant en évidence du fluide intra- et sous-rétinien en interpapillo-maculaire.
Figure 6. Implant de bimatoprost inséré sous forme d’anneau dans les culs-de-sac conjonctivaux, permettant une réduction de la PIO pendant plusieurs mois.
Ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab)
Figure 2. Cornée périphérique de l’œil gauche. Les ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab) sont bien visibles alors que le greffon présente une membrane de Descemet intacte.
Figure 1. Œil gauche opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis et 19 ans plus tôt d’une kératoplastie transfixiante. Le greffon cornéen reste clair et la PIO est normale.
Figure 5. OCT spectral domain de l’œil droit non greffé. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descemétique du greffon ont un aspect normal.
Figure 3. OCT spectral domain de l’œil gauche. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descémétique du greffon ont un aspect normal 19 ans après la greffe. On note néanmoins une variabilité de l’épaisseur épithéliale, fréquente après une greffe.
Ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab)
Figure 2. Cornée périphérique de l’œil gauche. Les ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab) sont bien visibles alors que le greffon présente une membrane de Descemet intacte.
Figure 1. Œil gauche opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis et 19 ans plus tôt d’une kératoplastie transfixiante. Le greffon cornéen reste clair et la PIO est normale.
Figure 5. OCT spectral domain de l’œil droit non greffé. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descemétique du greffon ont un aspect normal.
Figure 4. Œil droit opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis. La PIO est normale et la cornée claire. Noter la correctopie et le remaniement conjonctival liés à la chirurgie.
Figure 3. OCT spectral domain de l’œil gauche. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descémétique du greffon ont un aspect normal 19 ans après la greffe. On note néanmoins une variabilité de l’épaisseur épithéliale, fréquente après une greffe.
Figure 1. Œil gauche opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis et 19 ans plus tôt d’une kératoplastie transfixiante. Le greffon cornéen reste clair et la PIO est normale.
Figure 5. OCT spectral domain de l’œil droit non greffé. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descemétique du greffon ont un aspect normal.
Figure 4. Œil droit opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis. La PIO est normale et la cornée claire. Noter la correctopie et le remaniement conjonctival liés à la chirurgie.
Figure 3. OCT spectral domain de l’œil gauche. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descémétique du greffon ont un aspect normal 19 ans après la greffe. On note néanmoins une variabilité de l’épaisseur épithéliale, fréquente après une greffe.
Ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab)
Figure 2. Cornée périphérique de l’œil gauche. Les ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab) sont bien visibles alors que le greffon présente une membrane de Descemet intacte.
Figure 5. OCT spectral domain de l’œil droit non greffé. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descemétique du greffon ont un aspect normal.
Figure 4. Œil droit opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis. La PIO est normale et la cornée claire. Noter la correctopie et le remaniement conjonctival liés à la chirurgie.
Ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab)
Figure 2. Cornée périphérique de l’œil gauche. Les ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab) sont bien visibles alors que le greffon présente une membrane de Descemet intacte.
Figure 1. Œil gauche opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis et 19 ans plus tôt d’une kératoplastie transfixiante. Le greffon cornéen reste clair et la PIO est normale.
Figure 4. Œil droit opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis. La PIO est normale et la cornée claire. Noter la correctopie et le remaniement conjonctival liés à la chirurgie.
Figure 3. OCT spectral domain de l’œil gauche. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descémétique du greffon ont un aspect normal 19 ans après la greffe. On note néanmoins une variabilité de l’épaisseur épithéliale, fréquente après une greffe.
Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe
Figure 2. Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe (accident professionnel par disque de meuleuse). Remerciements au Pr Harold Merle.
Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe
Figure 2. Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe (accident professionnel par disque de meuleuse). Remerciements au Pr Harold Merle.
Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe
Figure 2. Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe (accident professionnel par disque de meuleuse). Remerciements au Pr Harold Merle.
Figure 1. Patient de 17 ans ayant subi un traumatisme cornéen transfixiant d’origine végétale avec une acuité visuelle conservée à 10/10. A. Plaie cornéenne transfixiante avec infiltrat postérieur B. Plaie auto-étanche avec absence de Seidel à l’instillation de fluorescéine C. à J7 apparition d’un granulome inflammatoire rétrocornéen à 5h D. Corps étranger (CE) dans l’angle irido-cornéen visible en gonioscopie E. Disparition du granulome inflammatoire rétrocornéen après ablation chirurgicale du CE F. Gonioscopie postopératoire mettant en évidence des synéchies irido-cornéennes cicatricielles.
OCT cornéen préopératoire suite à un traumatisme cornéen transfixiant d’origine végétale
Figure 2. OCT cornéen préopératoire du patient de 17 ans ayant subi un traumatisme cornéen transfixiant d’origine végétale.
A. Hyperréflectivité cornéenne mettant en évidence le caractère transfixiant de la plaie B. Hyperréflectivité rétro- et prédescemétique mettant en évidence l’infiltrat postérieur C. Hyporéflectivité arrondie rétrocornéenne mettant en évidence le CE (flèche orange).
Forte suspicion de plaie pénétrante du globe oculaire
Figure 2. Examen à la lampe à fente après instillation de fluoresceine œil gauche présentant un signe de Seidel conjonctival : forte suspicion de plaie pénétrante du globe oculaire.
Mise en évidence d’une large plaie sclérolimbique supérieure
Figure 3. Exploration de la plaie au bloc opératoire : mise en évidence d’une large plaie sclérolimbique supérieure masquée initialement par le chémosis hémorragique.
Mise en évidence d’une large plaie sclérolimbique supérieure
Figure 3. Exploration de la plaie au bloc opératoire : mise en évidence d’une large plaie sclérolimbique supérieure masquée initialement par le chémosis hémorragique.
Forte suspicion de plaie pénétrante du globe oculaire
Figure 2. Examen à la lampe à fente après instillation de fluoresceine œil gauche présentant un signe de Seidel conjonctival : forte suspicion de plaie pénétrante du globe oculaire.
Marianne, 95 ans, ne perçoit plus que les mouvements
DMLA (A et B), glaucome actuellement agonique (C), entropion (D, flèche), kératite chronique avec des néovaisseaux et une épithélialisation cornéens à gauche (E), ainsi que des précipités descémétiques pendant les poussées inflammatoires.
Adaptation de lentilles sclérales ICD d’un diamètre de 16,5 avec une flèche de 4 300 µ.
L’appui conjonctival au bord étant serré avec un arrêt de circulation capillaire et un aspect de blanchiment (A), l’ouverture du rayon scléral (SLZ pour scleral landing zone) de -3 puis de -5 rend le port moins inconfortable (B). Malgré une mouillabilité insuffisante (C), les lentilles portées permettent une réhabilitation visuelle (2/10 OD et 5/10 OG) et la récupération d’une surface cornéenne beaucoup moins inflammatoire.
Lésion pseudo-dendritique (A). Une semaine après mise en place du traitement, la topographie de l’ulcération s’est modifiée : plus étendue et sans pseudo-dendrites, avec persistance de la sensation douloureuse (B). La pose d’une lentille Senofilcon de Ro 8,4 et de puissance nulle a permis en 48 heures la cicatrisation complète (C et D).
Pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F)
La pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F) permet d’atténuer l’état inflammatoire cornéen, l’état trophique de la surface s’améliore (G et H).
Les douleurs accompagnant sa kératite en bandelette (A) ont cédé à la pose d’une lentille en lotrafilcon de puissance nulle et de rayon 8,40 (B). Après 4 ans, l’état de surface cornéen s’est nettement amélioré (C).
Pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F)
La pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F) permet d’atténuer l’état inflammatoire cornéen, l’état trophique de la surface s’améliore (G et H).
Marianne, 95 ans, ne perçoit plus que les mouvements
DMLA (A et B), glaucome actuellement agonique (C), entropion (D, flèche), kératite chronique avec des néovaisseaux et une épithélialisation cornéens à gauche (E), ainsi que des précipités descémétiques pendant les poussées inflammatoires.
Lésion pseudo-dendritique (A). Une semaine après mise en place du traitement, la topographie de l’ulcération s’est modifiée : plus étendue et sans pseudo-dendrites, avec persistance de la sensation douloureuse (B). La pose d’une lentille Senofilcon de Ro 8,4 et de puissance nulle a permis en 48 heures la cicatrisation complète (C et D).
Les douleurs accompagnant sa kératite en bandelette (A) ont cédé à la pose d’une lentille en lotrafilcon de puissance nulle et de rayon 8,40 (B). Après 4 ans, l’état de surface cornéen s’est nettement amélioré (C).
Marianne, 95 ans, ne perçoit plus que les mouvements
DMLA (A et B), glaucome actuellement agonique (C), entropion (D, flèche), kératite chronique avec des néovaisseaux et une épithélialisation cornéens à gauche (E), ainsi que des précipités descémétiques pendant les poussées inflammatoires.
Adaptation de lentilles sclérales ICD d’un diamètre de 16,5 avec une flèche de 4 300 µ.
L’appui conjonctival au bord étant serré avec un arrêt de circulation capillaire et un aspect de blanchiment (A), l’ouverture du rayon scléral (SLZ pour scleral landing zone) de -3 puis de -5 rend le port moins inconfortable (B). Malgré une mouillabilité insuffisante (C), les lentilles portées permettent une réhabilitation visuelle (2/10 OD et 5/10 OG) et la récupération d’une surface cornéenne beaucoup moins inflammatoire.
Pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F)
La pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F) permet d’atténuer l’état inflammatoire cornéen, l’état trophique de la surface s’améliore (G et H).
Les douleurs accompagnant sa kératite en bandelette (A) ont cédé à la pose d’une lentille en lotrafilcon de puissance nulle et de rayon 8,40 (B). Après 4 ans, l’état de surface cornéen s’est nettement amélioré (C).
Marianne, 95 ans, ne perçoit plus que les mouvements
DMLA (A et B), glaucome actuellement agonique (C), entropion (D, flèche), kératite chronique avec des néovaisseaux et une épithélialisation cornéens à gauche (E), ainsi que des précipités descémétiques pendant les poussées inflammatoires.
Adaptation de lentilles sclérales ICD d’un diamètre de 16,5 avec une flèche de 4 300 µ.
L’appui conjonctival au bord étant serré avec un arrêt de circulation capillaire et un aspect de blanchiment (A), l’ouverture du rayon scléral (SLZ pour scleral landing zone) de -3 puis de -5 rend le port moins inconfortable (B). Malgré une mouillabilité insuffisante (C), les lentilles portées permettent une réhabilitation visuelle (2/10 OD et 5/10 OG) et la récupération d’une surface cornéenne beaucoup moins inflammatoire.
Lésion pseudo-dendritique (A). Une semaine après mise en place du traitement, la topographie de l’ulcération s’est modifiée : plus étendue et sans pseudo-dendrites, avec persistance de la sensation douloureuse (B). La pose d’une lentille Senofilcon de Ro 8,4 et de puissance nulle a permis en 48 heures la cicatrisation complète (C et D).
Les douleurs accompagnant sa kératite en bandelette (A) ont cédé à la pose d’une lentille en lotrafilcon de puissance nulle et de rayon 8,40 (B). Après 4 ans, l’état de surface cornéen s’est nettement amélioré (C).
Pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F)
La pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F) permet d’atténuer l’état inflammatoire cornéen, l’état trophique de la surface s’améliore (G et H).
Adaptation de lentilles sclérales ICD d’un diamètre de 16,5 avec une flèche de 4 300 µ.
L’appui conjonctival au bord étant serré avec un arrêt de circulation capillaire et un aspect de blanchiment (A), l’ouverture du rayon scléral (SLZ pour scleral landing zone) de -3 puis de -5 rend le port moins inconfortable (B). Malgré une mouillabilité insuffisante (C), les lentilles portées permettent une réhabilitation visuelle (2/10 OD et 5/10 OG) et la récupération d’une surface cornéenne beaucoup moins inflammatoire.
Lésion pseudo-dendritique (A). Une semaine après mise en place du traitement, la topographie de l’ulcération s’est modifiée : plus étendue et sans pseudo-dendrites, avec persistance de la sensation douloureuse (B). La pose d’une lentille Senofilcon de Ro 8,4 et de puissance nulle a permis en 48 heures la cicatrisation complète (C et D).
Figure 3. Patient présentant un syndrome de pachychoroïde péripapillaire ; A. Cliché en autofluorescence de l’œil gauche montrant une hyperfluorescence à disposition péripapillaire (flèches jaunes) ; B. SD-OCT maculaire du même œil (la ligne verte indique la hauteur de coupe) mettant en évidence du fluide intra- et sous-rétinien en interpapillo-maculaire.
Figure 2. SD-OCT de l’œil droit d’un patient atteint de télengiectasies maculaires de type 2. On voit les cavités hyporéflectives associées à une interruption des couches externes de la rétine en temporal de la fovéa.
Figure 3. Patient présentant un syndrome de pachychoroïde péripapillaire ; A. Cliché en autofluorescence de l’œil gauche montrant une hyperfluorescence à disposition péripapillaire (flèches jaunes) ; B. SD-OCT maculaire du même œil (la ligne verte indique la hauteur de coupe) mettant en évidence du fluide intra- et sous-rétinien en interpapillo-maculaire.
Figure 2. SD-OCT de l’œil droit d’un patient atteint de télengiectasies maculaires de type 2. On voit les cavités hyporéflectives associées à une interruption des couches externes de la rétine en temporal de la fovéa.