« Echographie et cataracte » sera le thème de la prochaine réunion de la SFEIO, société savante dédiée à l'échographie et à l'imagerie oculaire, qui se tiendra dans le cadre de la SFO 2025
Crée le 26 janvier 2024 par 3 membres fondateurs Dr Laurence Rosier (Bordeaux), Dr Didier Hoa (Montpellier) et Dr Maté Streho (Paris) la SFEIO, société savante dédiée à l'échographie et à l'imagerie oculaire, propose une tribune à ceux qui veulent partager leur expériences dans un intérêt collectif
Au sein de ces nombreuses lésions hyperfluorescentes aux temps précoces avec diffusion tardive, seules trois lésions présentent une image de flux anormal néo vasculaire sur l’OCT-A segmenté au niveau de la rétine externe
La lésion apparaît comme une touffe vasculaire à flux élevé sur l’angiogramme (cercle vert). La segmentation utilisée est visible sur l’OCT B-scan en haut à droite (ligne verte). L’OCT B-scan avec signal de flux (points rouges) en bas, montre que le flux au sein de la lésion est intrarétinien et provient du plexus capillaire profond (flèche verte)
A.Fond d’œil droit : taches blanches visibles au pôle postérieur (flèches blanches) avec l’aspect granité de la macula (flèche jaune). B. OCT-Spectral domain : amincissement de la bande ellipsoïde.
A. Sclérite antérieure localisée.
B. Atteinte cornéenne associée à une sclérite antérieure. C. Sclérite nécrosante. D. Sclérite nodulaire.
Figure. A. Sclérite antérieure localisée. Notez l’aspect rouge sombre et la disposition non radiaire des vaisseaux.
B. Atteinte cornéenne associée à une sclérite antérieure (la flèche blanche montre un infiltrat périphérique). L’atteinte cornéenne est à considérer comme un signe de gravité.
C. Sclérite nécrosante. Une zone désignée par la flèche noire met en évidence une zone arrondie dépourvue de vaisseaux épiscléraux témoignant de l’occlusion capillaire et du caractère nécrosant de la sclérite.
D. Sclérite nodulaire. Le nodule est visible, en relief. La visualisation du relief peut être facilitée par un examen en fente fine.
Prise en charge et surveillance des patients atteints d’OBVR
Patient 4. a. Angiofluorographie : tortuosité de la veine temporale supérieure avec croisement artérioveineux proximal marqué. Œdème « de stase » hyperfluorescent dans le même territoire et atteignant la macula.
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Néovascularisation choroïdienne visualisée sur des clichés d’OCT-A explorant des champs différents
Figure 1. Néovascularisation choroïdienne visualisée sur des clichés d’OCT-A explorant des champs différents : 3 x 3 mm, 6 x 6 mm, 9 x 9 mm et 12 x 12 mm. La visualisation du néovaisseau est de moins en moins aisée avec l’augmentation de la taille du champ d’exploration.
Figure 4. Fluctuations spontanées du DSR secondaire à l’exsudation tumorale en absence d’injections intravitréennes : 3 mois (A), 5 mois (B), 6 mois (C) après l’arrêt du traitement.
Figure 3. DSR inféromaculaire secondaire au néovaisseau choroïdien (A). Régression du DSR dès la première injection (B). Disparition des signes exsudatifs après 5 injections (C).
Figure 2. OCT en mode EDI. Changement abrupt entre la zone décalcifiée de l’ostéome choroïdien (flèche blanche) et l’organisation homogène lamellaire de la choroïde dans la zone calcifiée (étoile).
Ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures
Figure 1. Photographie du fond de l’œil montrant l’ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures (A). Aspect de « pseudo nerf optique » de l’ostéome à l’échographie B (B).
Figure 2. Rapport Lipiview montrant la meibographie inférieure et supérieure, mais aussi l’épaisseur du film lipidique et le taux de clignements incomplets.
Greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement et brèche endothéliale sous-jacente (point)
Figure 4. Coupe postopératoire en OCT HR, verticale et centrée sur le limbe (Cirrus 5000-Zeiss). Œil gauche en haut, œil droit en bas, montrant le greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement (flèche) et la brèche endothéliale sous-jacente (point).
Figure 3. Aspect en OCT montrant une atténuation des couches rétiniennes externes allant jusqu’à la couche nucléaire externe par endroits, un allongement des articles externes des photorécepteurs et un aspect pouvant correspondre à un décollement séreux rétinien ou à la cavitation rétinienne classiquement décrite dans la Torpedo maculopathy. La couche de l’épithélium pigmentaire adjacente apparaît irrégulière et amincie, et il existe une augmentation de la réflectivité choroïdienne en regard.
Figure 2. Angiographie à la fluorescéine. A. Au temps précoce. B. Au temps intermédiaire. C. Au temps tardif, montrant une prise de contraste sans réelle diffusion, dénotant d’un probable effet fenêtre. À noter que la zone nasale supérieure, qui semble diffuser, ne correspond à aucune lésion sur le cliché OCT correspondant.
A. Sclérite antérieure localisée.
B. Atteinte cornéenne associée à une sclérite antérieure. C. Sclérite nécrosante. D. Sclérite nodulaire.
Figure. A. Sclérite antérieure localisée. Notez l’aspect rouge sombre et la disposition non radiaire des vaisseaux.
B. Atteinte cornéenne associée à une sclérite antérieure (la flèche blanche montre un infiltrat périphérique). L’atteinte cornéenne est à considérer comme un signe de gravité.
C. Sclérite nécrosante. Une zone désignée par la flèche noire met en évidence une zone arrondie dépourvue de vaisseaux épiscléraux témoignant de l’occlusion capillaire et du caractère nécrosant de la sclérite.
D. Sclérite nodulaire. Le nodule est visible, en relief. La visualisation du relief peut être facilitée par un examen en fente fine.
Ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures
Figure 1. Photographie du fond de l’œil montrant l’ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures (A). Aspect de « pseudo nerf optique » de l’ostéome à l’échographie B (B).
Figure 3. DSR inféromaculaire secondaire au néovaisseau choroïdien (A). Régression du DSR dès la première injection (B). Disparition des signes exsudatifs après 5 injections (C).
Figure 2. OCT en mode EDI. Changement abrupt entre la zone décalcifiée de l’ostéome choroïdien (flèche blanche) et l’organisation homogène lamellaire de la choroïde dans la zone calcifiée (étoile).
Ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures
Figure 1. Photographie du fond de l’œil montrant l’ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures (A). Aspect de « pseudo nerf optique » de l’ostéome à l’échographie B (B).
Figure 4. Fluctuations spontanées du DSR secondaire à l’exsudation tumorale en absence d’injections intravitréennes : 3 mois (A), 5 mois (B), 6 mois (C) après l’arrêt du traitement.
Figure 2. OCT en mode EDI. Changement abrupt entre la zone décalcifiée de l’ostéome choroïdien (flèche blanche) et l’organisation homogène lamellaire de la choroïde dans la zone calcifiée (étoile).
Ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures
Figure 1. Photographie du fond de l’œil montrant l’ostéome choroïdien au pôle postérieur, associé à des microhémorragies rétiniennes inférieures (A). Aspect de « pseudo nerf optique » de l’ostéome à l’échographie B (B).
Figure 4. Fluctuations spontanées du DSR secondaire à l’exsudation tumorale en absence d’injections intravitréennes : 3 mois (A), 5 mois (B), 6 mois (C) après l’arrêt du traitement.
Figure 3. DSR inféromaculaire secondaire au néovaisseau choroïdien (A). Régression du DSR dès la première injection (B). Disparition des signes exsudatifs après 5 injections (C).
Figure 2. OCT en mode EDI. Changement abrupt entre la zone décalcifiée de l’ostéome choroïdien (flèche blanche) et l’organisation homogène lamellaire de la choroïde dans la zone calcifiée (étoile).
Figure 4. Fluctuations spontanées du DSR secondaire à l’exsudation tumorale en absence d’injections intravitréennes : 3 mois (A), 5 mois (B), 6 mois (C) après l’arrêt du traitement.
Figure 3. DSR inféromaculaire secondaire au néovaisseau choroïdien (A). Régression du DSR dès la première injection (B). Disparition des signes exsudatifs après 5 injections (C).
Figure 2. Rapport Lipiview montrant la meibographie inférieure et supérieure, mais aussi l’épaisseur du film lipidique et le taux de clignements incomplets.
Figure 2. Rapport Lipiview montrant la meibographie inférieure et supérieure, mais aussi l’épaisseur du film lipidique et le taux de clignements incomplets.
Greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement et brèche endothéliale sous-jacente (point)
Figure 4. Coupe postopératoire en OCT HR, verticale et centrée sur le limbe (Cirrus 5000-Zeiss). Œil gauche en haut, œil droit en bas, montrant le greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement (flèche) et la brèche endothéliale sous-jacente (point).
Greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement et brèche endothéliale sous-jacente (point)
Figure 4. Coupe postopératoire en OCT HR, verticale et centrée sur le limbe (Cirrus 5000-Zeiss). Œil gauche en haut, œil droit en bas, montrant le greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement (flèche) et la brèche endothéliale sous-jacente (point).
Greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement et brèche endothéliale sous-jacente (point)
Figure 4. Coupe postopératoire en OCT HR, verticale et centrée sur le limbe (Cirrus 5000-Zeiss). Œil gauche en haut, œil droit en bas, montrant le greffon lamellaire (étoile) coiffant la zone d’amincissement (flèche) et la brèche endothéliale sous-jacente (point).
Figure 1. Aspect de la lésion. A. Cliché couleur montrant une lésion maculaire ovoïde en forme de torpille, de grand axe horizontal, pigmentée de façon diffuse. B. Cliché en autofluorescence montrant le caractère hypoautofluorescent de la lésion, entourée par un fin liseré hyperautofluorescent.
Figure 2. Angiographie à la fluorescéine. A. Au temps précoce. B. Au temps intermédiaire. C. Au temps tardif, montrant une prise de contraste sans réelle diffusion, dénotant d’un probable effet fenêtre. À noter que la zone nasale supérieure, qui semble diffuser, ne correspond à aucune lésion sur le cliché OCT correspondant.
Figure 1. Aspect de la lésion. A. Cliché couleur montrant une lésion maculaire ovoïde en forme de torpille, de grand axe horizontal, pigmentée de façon diffuse. B. Cliché en autofluorescence montrant le caractère hypoautofluorescent de la lésion, entourée par un fin liseré hyperautofluorescent.
Figure 3. Aspect en OCT montrant une atténuation des couches rétiniennes externes allant jusqu’à la couche nucléaire externe par endroits, un allongement des articles externes des photorécepteurs et un aspect pouvant correspondre à un décollement séreux rétinien ou à la cavitation rétinienne classiquement décrite dans la Torpedo maculopathy. La couche de l’épithélium pigmentaire adjacente apparaît irrégulière et amincie, et il existe une augmentation de la réflectivité choroïdienne en regard.
« Echographie et cataracte » sera le thème de la prochaine réunion de la SFEIO, société savante dédiée à l'échographie et à l'imagerie oculaire, qui se tiendra dans le cadre de la SFO 2025
Crée le 26 janvier 2024 par 3 membres fondateurs Dr Laurence Rosier (Bordeaux), Dr Didier Hoa (Montpellier) et Dr Maté Streho (Paris) la SFEIO, société savante dédiée à l'échographie et à l'imagerie oculaire, propose une tribune à ceux qui veulent partager leur expériences dans un intérêt collectif