Refractiv'News, Retina'News, sous la présidence des Prs Stéphanie Baillif, Francine Behar-Cohen, Carole Burillon, Marie-Josée Tassignon et Jean-Paul Renard
Implants iriens cosmétiques de chambre antérieure
Avant explantation. a. Œil droit. Noter le cercle périkératique témoin de l’inflammation chronique et l’implant cosmétique irien de chambre antérieure, décentré. b. Œil gauche. c. Cercle périkératique. d. Précipités rétrocornéens fins.
A gauhe : œil adelphe. A droite : Rupture du sphincter irien : en myosis, il existe une anisocorie et une disparition du plissement de la marge pupillaire.
Plaie du globe ouverte avec corps étranger en plastique
Figure 1. Photo à la lampe à fente de plaie du globe ouverte avec corps étranger en plastique par porte d’entrée cornéenne et induction de cataracte traumatique.
Cas d’une patiente de 65 ans ayant consulté en urgence pour une baisse d’acuité visuelle bilatérale et symétrique d’évolution rapidement progressive
Figure 2. A. Photographie en lampe à fente de l’œil droit.
B. Carte de pachymétrie cornéenne de l’œil droit. (Les données de l’œil gauche sont similaires.)
Lire l'article associé Décompensation endothéliale toxique bilatérale induite par l’amantadine
Figure 1. A et B. Photos couleur grand champ avec zoom sur les stries angioïdes (Optos, California). Clichés couleur montrant de fines lésions radiaires à point de départ papillaire rejoignant la macula et correspondant aux stries angioïdes (têtes de flèches rouges). La zone pigmentée au pôle postérieur représente la cicatrice fibrovasculaire compliquant les stries angioïdes aux 2 yeux (flèches bleues). C et D. Clichés en autofluorescence révélant de larges plages hypo-autofluorescentes qui correspondent à l’atrophie avec un liseré hyper-autofluorescent témoignant de la souffrance de l’épithélium pigmentaire adjacent. Les têtes de flèches vertes délimitent une strie angioïde hypo-autofluorescente.
Figure 5. A = fistule palpébrale + sourcilière droite de LCR responsable d’une oculorrhée chez un patient victime d’un traumatisme crânien. B = défect osseux du toit de l’orbite avec brèche dure mérienne associée (cercle vert).
Figure 4. Corps étranger végétal intraorbitaire gauche. A = porte d’entrée cutanée supéro-interne. B = exophtalmie gauche. C = TDM coupe axiale fenêtre osseuse : hypodensité linéaire intraconique rétrobulbaire. D = TDM coupe coronale fenêtre osseuse : corps étranger à cheval sur les espaces extra- et intraconique, rétrobulbaire, au-dessus du nerf optique. E = exploration peropératoire avec identification du corps étranger. F = extraction d’un volumineux morceau de bois.
Principales voies de passage d’un corps étranger orbito-crânien.
Figure 3. Principales voies de passage d’un corps étranger orbito-crânien. A (vue de face) et B (vue supérieure) = passage par la fissure orbitaire supérieure vers l’étage moyen. C (vue de face) et D (vue supérieure) = passage par le canal optique vers l’étage moyen. E (vue de face) et F (vue supérieure) = passage par l’os frontal vers l’étage antérieur.
Figure 2. Vue supérieure du crâne. L’étage antérieur est en rapport avec la face supérieure de l’orbite. L’étage moyen est en rapport avec la face postérieure de l’orbite (apex orbitaire).
OCT, coupe transversale papillomaculaire, œil droit : œdème papillaire. Aspect de cavitation hyporéflective dans la tête saillante du nerf optique, effet masque postérieur. Décollement séreux rétinien soulevant la fovéola.
Lésion jauneorangé arrondie périfovéolaire inférieure et une hémorragie prérétinienne périlésionnelle
Figure 1. Rétinophotographie initiale de l’œil gauche montrant une lésion jauneorangé arrondie périfovéolaire inférieure et une hémorragie prérétinienne périlésionnelle
Figure 7. L’injection d’air a créé une bulle de type 1 (clivage entre le stroma et la couche de Dua et une bulle de type 2 (clivage entre la couche de Dua et la membrane de Descemet). La couche de Dua est bien visualisée, très hyperréflective, en arrière du stroma postérieur. La membrane de Descemet est plus postérieure et moins réflective (scan horizontal, ligne verte).
Plaie du globe ouverte avec corps étranger en plastique
Figure 1. Photo à la lampe à fente de plaie du globe ouverte avec corps étranger en plastique par porte d’entrée cornéenne et induction de cataracte traumatique.
Cas d’une patiente de 65 ans ayant consulté en urgence pour une baisse d’acuité visuelle bilatérale et symétrique d’évolution rapidement progressive
Figure 2. A. Photographie en lampe à fente de l’œil droit.
B. Carte de pachymétrie cornéenne de l’œil droit. (Les données de l’œil gauche sont similaires.)
Cas d’une patiente de 65 ans ayant consulté en urgence pour une baisse d’acuité visuelle bilatérale et symétrique d’évolution rapidement progressive
Figure 2. A. Photographie en lampe à fente de l’œil droit.
B. Carte de pachymétrie cornéenne de l’œil droit. (Les données de l’œil gauche sont similaires.)
Figure 4. Corps étranger végétal intraorbitaire gauche. A = porte d’entrée cutanée supéro-interne. B = exophtalmie gauche. C = TDM coupe axiale fenêtre osseuse : hypodensité linéaire intraconique rétrobulbaire. D = TDM coupe coronale fenêtre osseuse : corps étranger à cheval sur les espaces extra- et intraconique, rétrobulbaire, au-dessus du nerf optique. E = exploration peropératoire avec identification du corps étranger. F = extraction d’un volumineux morceau de bois.
Principales voies de passage d’un corps étranger orbito-crânien.
Figure 3. Principales voies de passage d’un corps étranger orbito-crânien. A (vue de face) et B (vue supérieure) = passage par la fissure orbitaire supérieure vers l’étage moyen. C (vue de face) et D (vue supérieure) = passage par le canal optique vers l’étage moyen. E (vue de face) et F (vue supérieure) = passage par l’os frontal vers l’étage antérieur.
Figure 2. Vue supérieure du crâne. L’étage antérieur est en rapport avec la face supérieure de l’orbite. L’étage moyen est en rapport avec la face postérieure de l’orbite (apex orbitaire).
Figure 5. A = fistule palpébrale + sourcilière droite de LCR responsable d’une oculorrhée chez un patient victime d’un traumatisme crânien. B = défect osseux du toit de l’orbite avec brèche dure mérienne associée (cercle vert).
Principales voies de passage d’un corps étranger orbito-crânien.
Figure 3. Principales voies de passage d’un corps étranger orbito-crânien. A (vue de face) et B (vue supérieure) = passage par la fissure orbitaire supérieure vers l’étage moyen. C (vue de face) et D (vue supérieure) = passage par le canal optique vers l’étage moyen. E (vue de face) et F (vue supérieure) = passage par l’os frontal vers l’étage antérieur.
Figure 2. Vue supérieure du crâne. L’étage antérieur est en rapport avec la face supérieure de l’orbite. L’étage moyen est en rapport avec la face postérieure de l’orbite (apex orbitaire).
Figure 5. A = fistule palpébrale + sourcilière droite de LCR responsable d’une oculorrhée chez un patient victime d’un traumatisme crânien. B = défect osseux du toit de l’orbite avec brèche dure mérienne associée (cercle vert).
Figure 4. Corps étranger végétal intraorbitaire gauche. A = porte d’entrée cutanée supéro-interne. B = exophtalmie gauche. C = TDM coupe axiale fenêtre osseuse : hypodensité linéaire intraconique rétrobulbaire. D = TDM coupe coronale fenêtre osseuse : corps étranger à cheval sur les espaces extra- et intraconique, rétrobulbaire, au-dessus du nerf optique. E = exploration peropératoire avec identification du corps étranger. F = extraction d’un volumineux morceau de bois.
Figure 2. Vue supérieure du crâne. L’étage antérieur est en rapport avec la face supérieure de l’orbite. L’étage moyen est en rapport avec la face postérieure de l’orbite (apex orbitaire).
Figure 5. A = fistule palpébrale + sourcilière droite de LCR responsable d’une oculorrhée chez un patient victime d’un traumatisme crânien. B = défect osseux du toit de l’orbite avec brèche dure mérienne associée (cercle vert).
Figure 4. Corps étranger végétal intraorbitaire gauche. A = porte d’entrée cutanée supéro-interne. B = exophtalmie gauche. C = TDM coupe axiale fenêtre osseuse : hypodensité linéaire intraconique rétrobulbaire. D = TDM coupe coronale fenêtre osseuse : corps étranger à cheval sur les espaces extra- et intraconique, rétrobulbaire, au-dessus du nerf optique. E = exploration peropératoire avec identification du corps étranger. F = extraction d’un volumineux morceau de bois.
Principales voies de passage d’un corps étranger orbito-crânien.
Figure 3. Principales voies de passage d’un corps étranger orbito-crânien. A (vue de face) et B (vue supérieure) = passage par la fissure orbitaire supérieure vers l’étage moyen. C (vue de face) et D (vue supérieure) = passage par le canal optique vers l’étage moyen. E (vue de face) et F (vue supérieure) = passage par l’os frontal vers l’étage antérieur.
Figure 5. A = fistule palpébrale + sourcilière droite de LCR responsable d’une oculorrhée chez un patient victime d’un traumatisme crânien. B = défect osseux du toit de l’orbite avec brèche dure mérienne associée (cercle vert).
Figure 4. Corps étranger végétal intraorbitaire gauche. A = porte d’entrée cutanée supéro-interne. B = exophtalmie gauche. C = TDM coupe axiale fenêtre osseuse : hypodensité linéaire intraconique rétrobulbaire. D = TDM coupe coronale fenêtre osseuse : corps étranger à cheval sur les espaces extra- et intraconique, rétrobulbaire, au-dessus du nerf optique. E = exploration peropératoire avec identification du corps étranger. F = extraction d’un volumineux morceau de bois.
Principales voies de passage d’un corps étranger orbito-crânien.
Figure 3. Principales voies de passage d’un corps étranger orbito-crânien. A (vue de face) et B (vue supérieure) = passage par la fissure orbitaire supérieure vers l’étage moyen. C (vue de face) et D (vue supérieure) = passage par le canal optique vers l’étage moyen. E (vue de face) et F (vue supérieure) = passage par l’os frontal vers l’étage antérieur.
Figure 2. Vue supérieure du crâne. L’étage antérieur est en rapport avec la face supérieure de l’orbite. L’étage moyen est en rapport avec la face postérieure de l’orbite (apex orbitaire).
Refractiv'News, Retina'News, sous la présidence des Prs Stéphanie Baillif, Francine Behar-Cohen, Carole Burillon, Marie-Josée Tassignon et Jean-Paul Renard