Echographie
Un homme de 51 ans consulte pour des douleurs insomniantes de l'oeil droit évoluant depuis deux jours dans un contexte d'altération de l'état général. Il est originaire du Congo, ancien héroïnomane et séropositif pour le VIH, actuellement en rupture de thérapeutique antirétroviral.
Dans certaines circontances, l'implant de chambre postérieur peut ne pas être conservé. Différentes techniques chirurgicales ont été décrites pour satisfaire ces conditions complexes d'implantation. Cet article présente la technique récente de fixation sclérale sans suture dont l'indication principale est représentée par les luxations postérieures d'implants trois pièces pour lesquelles aucune incision cornéenne ne s'avére nécessaire.
La plupart des critéres diagnostiques des tumeurs chroroïdiennes sont cliniques, échographiques et angiographiques, mais aujourd'hui, l'OCT grâce à l'amélioration des techniques d'imagerie permet de décrire plus finement les interactions avec la choroïde saine adjacente, la choriocapillaire et la rétine externe.
L'irrégularité cornéenne, qu'elle soit primitive (kératocônes) ou comme ici secondaires par plaie cornéenne, est pourvoyeuse de doléances visuelles qualitatives, voire quantitatives. La topographie cornéenne est indispensable pour orienter l'adaptation en lentille rigide, seule capable de régulariser artificiellement le dioptre cornéen antérieur altéré et irrégulier.
Monsieur B, âgé de 62 ans, est suivi pour un diabète de type 2 équilibré grâce à un traitement spécifique. Rédacteur dans une revue littéraire, il travaille 7 heures par jour sur écran. Il porte des verres progressifs "toute distance" datant de plus de 3 ans et se plaint depuis quelques temps d'inconfort à la lecture prolongée, de fatique visuelle et de douleurs au niveau des cervicales lors du travail sur écran. Il consulte son ophtalmologiste qui lui prescrit de nouveaux verres progressifs avec une modification de la formule. Après exécution, bien que voyant mieux à toutes…
