Echographie
M. M., 78 ans, monophtalme post-traumatique, consulte pour une baisse d’acuité visuelle brutale de l’œil gauche. Ses antécédents sont un AVC, une myélodysplasie, la maladie d’Alzheimer et une insuffisance rénale chronique. Il est sous antiagrégants plaquettaires et anticoagulants.
Nous rapportons le cas de Mlle G., âgée de 11 ans, suivie pour une cystinose diagnostiquée à l’âge de 18 mois devant un syndrome polyuro-polydipsique. Le tableau clinique est complété par une atteinte thyroïdienne et ophtalmologique. La patiente est déjà traitée par de la cystéamine orale (Cystagon) depuis l’âge de 2 ans, de l’hormone de croissance (GH) et de la lévothyroxine.
Des plus conventionnelles aux plus récentes, les différentes techniques d’imagerie de la cornée ont été abordées dans la session "Imaging the cornea". Un autre moment fort, le symposium intitulé « Kératocône (KC) : gestion actuelle et perspectives » a permis de souligner les différents challenges à relever dans la prise en charge de cette pathologie, ainsi qu’une mise à jour des avancées en 2020 autour de spécialistes européens dans ce domaine.
Beaucoup de questions sont soulevées par les professionnels de l’optique et les ophtalmologistes mais également les patients depuis le début de cette pandémie inédite. Nous allons essayer de démêler les vraies informations des fausses. Bien entendu, les données évoluant constamment, elles risquent d’être obsolètes à la date de parution.
La tomographie par cohérence optique (OCT) et l’OCT-angiographie ont depuis quelques années révolutionné le diagnostic et le suivi des patients atteints d’une DMLA exsudative. La Fédération France Macula recommande en effet de ne plus recourir à l’angiographie (à la fluorescéine ou au vert d’indocyanine) comme examen de première intention pour le primo-diagnostic de ce type de DMLA.
