Echographie

Pour plus de clarté, l'exemple du kératocône a été retenu comme fil conducteur dans cet article. Des tableaux commentés présentent les différents examens d'investigation en cornéoplastie avant d'en montrer l'intérêt en simulant les conséquences dans le temps de l'évolution d'un kératocône sur le plan morphologique, biomécanique, visuel et fonctionnel. Enfin, un cas clinique d'une patiente opérée par anneaux intracornéens illustre cet article. Les investigations en cornéoplastie.

La cornéoplastie est un terme récent correspondant à une action thérapeutique déterminant une modification de forme, de propriétés ou de structure de la cornée. La plupart des modalités sont chirurgicales, mais nous entrons dans une ère où les méthodes pharmacologiques ou physiques prendront une place notable.

Les atteintes inflammatoires de la sclère sont des pathologies dont le pronostic est parfois sévère et dont la prise en charge est souvent pluridisciplinaire. Si les épisclérites sont habituellement idiopathiques, les sclérites sont associées dans un cas sur deux à une pathologie de système dont le diagnostic précoce améliore la réponse thérapeutique et donc le pronostic. La démarche diagnostic passe par un interrogatoire précis et détaillé, un examen clinique soigneux et des examens paracliniques utiles au diagnostic étiologique.

La maîtrise du bon usage des corticoïdes, des immunosuppresseurs et des immuno-modulateurs est fondamentale dans la prise en charge des uvéites. Selon la cause sous-jacente et la sévérité de l'atteinte ophtalmologique, une corticothérapie systémique associée ou non aux immunosuppresseurs et/ou immunomodulateurs peut être justifiée, en association aux traitements locaux. Cet article passe en revue les différents traitements systémiques disponibles et leurs indications en pratique clinique.

La chirurgie de la cataracte est désormais de bon pronostic chez les patients atteints d'uvéite grâce à l'amélioration des techniques opératoires, de moins en moins traumatisantes (extraction extracapsulaire par phacoémulsification, mini- et micro-incisions, temps opératoire considérablement réduit). Le contrôle de l'inflammation dans les temps pré- et postopératoire est un point clef de la prise en charge d'une cataracte dans ce contexte : le respect d'un temps de quiescence d'au moins trois mois avant la chirurgie et le contrôle de l'inflammation postopératoire permettent de…