Echographie
2e congrès de la SoFem Cloud Business Center, Paris – 3 juin 2023 Le 2e congrès de la Société d’ophtalmologie féminine française, présidé par le Dr Cati Albou-Ganem, a réuni cette année de nombreux et nombreuses spécialistes dans divers domaines de l’ophtalmologie.
Les biosimilaires sont arrivés sur le marché français en 2006 avec la somatropine. Depuis, de nombreuses spécialités sont concernées par ces traitements, avec une prédilection pour la rhumatologie, la dermatologie, la cancérologie et la gastro-entérologie. Les biosimilaires sont disponibles depuis 2023 en ophtalmologie avec, comme molécule de référence, le ranibizumab. Le but de cet article est d’expliquer ce qu’est un biosimilaire, les conditions de sa mise sur le marché et de son utilisation, ainsi que les données disponibles en ophtalmologie.
Élément majeur de la rétine, l’épithélium pigmentaire rétinien (EPR) est lié à la choriocapillaire et aux photorécepteurs, avec un risque d’endommagement conjoint dans le cas d’une atteinte inflammatoire ou infectieuse. Les maladies inflammatoires peuvent altérer l’EPR soit de manière directe (photoréceptorites), soit via une ischémie de la choriocapillaire (choriocapillaropathie inflammatoire).
Les dystrophies rétiniennes sont un groupe de maladies génétiquement, moléculairement et cliniquement très hétérogènes. Un même gène peut être responsable de différents tableaux cliniques et, inversement, un même tableau clinique peut être dû à différents gènes. Plus de 100 gènes situés au niveau des photorécepteurs et de l’épithélium pigmentaire rétinien (EPR) ont été identifiés comme étant impliqués, avec différents modes de transmission et une variété de pénétrance et d’expressivité. Dans cet article, nous nous concentrons principalement sur les…
Les dépôts de matériel sous-rétiniens autofluorescents (SAD) peuvent être présents dans de nombreuses pathologies. Plusieurs mécanismes physiopathogéniques sont impliqués dans leur survenue, expliquant la grande diversité de pathologies associées. Aussi le diagnostic étiologique peut-il être parfois difficile. La localisation et l’aspect de ces dépôts, ainsi que leur mode de survenue, aigu ou chronique, sont autant d’éléments qui vont aider à orienter le diagnostic.
