Echographie
Cet article est l’écho de deux communications complémentaires et d’une table ronde présentées aux Journées d’ophtalmologie interactive (JOI) de Toulouse en septembre 2011. J’avais d’abord décrit le schéma de la prise en charge actuelle de l’amblyopie. Le Pr Jonathan Holmes nous a exposé une synthèse remarquable des travaux du PEDIG (Pediatric Disease Investigative Group, dont il est un des initiateurs) sur l’amblyopie. Une table ronde, à laquelle participait en outre Françoise Lavenant (CHR Nantes), comparait nos attitudes respectives devant des cas concrets.
"La contactologie à travers la presse" est une revue de presse régulièrement proposée
Dans le cadre des uvéites, les corticoïdes injectés par voie péri- ou intraoculaire constituent une aide thérapeutique indispensable. On utilise les injections latérobulbaires ou sous-conjonctivales de dexaméthasone (DXM) pour les atteintes aiguës sévères du segment antérieur. Pour atteindre le segment postérieur, notamment la macula, il est nécessaire d’utiliser des corticoïdes retards par voie périoculaire (injection sous-ténonienne) ou intravitréenne. Le Kénacort® retard et le dispositif implantable Ozurdex® sont les deux produits utilisés dans cette indication.
Le diagnostic de toxoplasmose oculaire, première cause d’uvéite postérieure, repose le plus souvent sur une présomption clinique devant la présence d’une lésion évocatrice du fond d’oeil. Il existe néanmoins une variété de présentations moins communes, atypi - ques, avec lesquelles les cliniciens sont moins familiers. Ces formes inhabituelles sont fréquemment à l’origine d’un retard diagnostique et thérapeutique. L’objet de cet article est donc de présenter des cas illustrés de rétinochoroïdite toxoplasmique de diagnostic parfois difficile.
