Echographie
Editorial par Véronique Pagot-Mathis Service d'ophtalmologie de l'Hôpital Paule-de-Viguier, CHU de Toulouse La prolifération vitréo-rétinienne (PVR) complique 5 à 10% de la chirurgie des décollements de la rétine (DR), quelles que soient les techniques chirurgicales utilisées et ce pourcentage ne semble pas avoir été modifié par les nouvelles techniques chirurgicales de vitrectomie micro-invasive de première intention dans la prise en charge du DR rhegmatogène (DRR). Il s'agit d'un phénomène d'hypercicatrisation entraînant la formation de membranes essentiellement…
On mesure la relative difficulté, dans certains cas, de réaliser des examens complémentaires chez l'enfant. Le raisonnement très orienté chez l'adulte par les multiples examens complémentaires à notre disposition doit se limiter parfois chez l'enfant à l'analyse clinique plus conventionnelle. En effet,certains examens complémentaires sont impossibles à réaliser du fait de l'âge, ou bien nécessiteraient une anesthésie générale qui n'est pas toujours possible ou souhaitable. Pour autant,dès 6 ans, le petit enfant est presque un adulte. Sa maturation visuelle est d'ailleurs…
L'ophtalmologiste joue un rôle primordial dans l'identification des patients souffrant d'une hypertension intracrânienne idiopathique (HTICI) à haut risque d'évolution défavorable. La mise en évidence de facteurs pronostiques permet de mieux préciser les stratégies thérapeutiques lors de l'évaluation initiale. Elle permet également d'adapter, conjointement avec le neurologue, la stratégie de suivi. L'objectif de cet article est d'aider l'ophtalmologiste à identifier les patients porteurs d'une HTICI à haut risque visuel afin d'adapter leur suivi et la stratégie thérapeutique.
L'apnée obstructive du sommeil ou syndrome d'apnée du sommeil de type obstructif (SAOS) est un trouble très mal diagnostiqué par l'ensemble du corps médical, principalement par les ophtalmologistes. Pourtant beaucoup de complications ophtalmologiques sont associées au SAOS : floppy eye syndrome (FES), conjonctivite papillaire, kératite filamenteux ou infectieuse, érosions récurrentes de la cornée, kératocône, neuropathie optique, œdème papillaire, pathologie glaucomateuse, œdème maculaire diabétique...
Les forts astigmatismes se corrigent, comme tout astigmatisme, en faisant coïncider pour chaque méridien principal le foyer-image du verre correcteur avec le remotum. La correction des forts astigmatismes symétriques nécessite un dosage de la correction pour atténuer les déformations méridionales responsables d'anamorphose. La correction des forts astigmatismes asymétriques nécessite un dosage plus important de la correction pour atténuer les effets d'anamorphose, mais surtout ceux de l'anisophorie et de l'aniséiconie méridionale induits qui pénalisent la fusion.
