Echographie
Madame K. P., 48 ans, enseignante, souhaite un équipement en lentilles progressives. Elle a bénéficié d'une chirurgie réfractive par lasik en 2002 en Russie pour correction d'un astigmatisme et d'une myopie (puissance? 4?). Elle a consulté un chirurgien réfractif en 2013 car elle souhaite une « retouche ». Le chirurgien lui a conseillé un port de lentilles (!) et l'a équipée en Focus Dailies Comfort Plus qu'elle ne supporte pas bien : AV: -1,25(-0,75)0/-1(-1,25)0*add 1,50 10/10*p2/p2, Km: OD: 8,96/170 8,77 80; OG: 8,75/5 8,52/95. Belles cicatrices de lasik ODG, BUT: 7/7, OG préfé…
Cet homme de 47 ans a une hypermétropie bilatérale de +1,25 et une addition de 0,75. Kératométrie régulière et symétrique : œil droit 7,53 mm/7,4 mm et œil gauche: 7,6 mm/7,54 mm (figure1). À noter la présence d'une pinguécula à droite.
Dans les principales causes d'insatisfaction des presbytes équipés de verres correcteurs, on accuse la plupart du temps un mauvais centrage, un dosage imparfait de la correction, un problème de convergence... La baisse qualitative de l'acuité visuelle des presbytes de plus de 60 ans n'est pas suffisamment prise en compte et devrait faire l'objet de tests complémentaires : sensibilité au contraste, sensibilité colorée et sensibilité à l'éblouissement. Les optotypes à fort contraste que nous utilisons pour quantifier l'acuité ne nous renseignent pas suffisamment sur le qualitatif…
Il existe deux grands types d'actes réalisés en ophtalmologie : les consultations et les actes techniques. Normalement, tous ces actes devraient faire partie de la classification commune des actes médicaux (CCAM), mais seul le versant technique existe aujourd'hui. Plus tard, devrait coexister une CCAM clinique que l'assurance-maladie repousse régulièrement, craignant son coût. Les actes de consultation sont par conséquent toujours dans la nomenclature générale des actes professionnels (NGAP).
La notion d'efficacité et d'optimisation a toujours suscité beaucoup d'intérêt dans nos pratiques. Aujourd'hui, la croissance exponentielle du nombre d'injections intravitréennes (IVT) nous impose une réflexion sur l'optimisation de ce traitement. Le but ici n'est pas de dicter des règles ou un protocole unique. Si certaines étapes font l'objet d'un consensus, nos habitudes sont variables. Chacun d'entre nous vise à améliorer son rendement afin de pouvoir traiter toujours plus de patients en respectant les délais de rendez-vous et de traitement. Le but est aussi de minimiser le…
