Echographie

Cette étude, publiée dans le Journal of Ophthalmology en 2015 par l’équipe du Pr Souied de Créteil, a pour objectif de comparer l'imagerie faite en OCT-A versus imagerie ­multi­modale traditionnelle des yeux atteints de choriorétinopathie séreuse centrale (CRSC).

Toute décision thérapeutique repose sur une convergence d’arguments. Avec l’arrivée de l’OCT-A, la réalisation systématique d’une angiographie à la fluorescéine, examen invasif non sans risque, fait débat. Utilisé au quotidien en neuro-ophtalmologie, l’examen du réflexe afférent pupillaire sait également être utile dans la surveillance d’une occlusion de veine centrale de la rétine. Son déficit est appelé « signe de Marcus Gunn ».

Test de dépistage publié en 1947 par le Dr Marc Amsler [1] et connu du grand public grâce aux campagnes publicitaires, cet examen est devenu la référence pour la détection du syndrome maculaire chez les patients atteints de maculo­pathie liée à l’âge. Ce syndrome est caractérisé par une baisse d’acuité visuelle ou un/des scotome(s) et/ou des métamorphopsies.

Mme L., âgée de 40 ans est suivie depuis 3 mois pour un décollement séreux rétinien (DSR) persistant dans le cadre d’une choriorétinite séreuse centrale (CRSC) de l’œil gauche. 

Les protocoles organisationnels ouvrent de nouvelles perspectives. Concrètement, qu’autorisent-ils ?  Quelles conditions doivent être respectées ?