Echographie
L’entité pachychoroïde a été décrite relativement récemment par l’équipe du Dr Freund [1-3] comme un phénotype caractérisé non seulement par une choroïde épaisse, mais plus spécifiquement par l’augmentation de l’épaisseur de la couche de Haller associée à l’amincissement de la couche de Sattler. De nouvelles formes ont ensuite été mises en évidence dans le spectre des pachychoroïdes.
La première implantation intraoculaire date de 1950. Elle a été réalisée par le Dr Ridley. Et ce n’est que 35 ans plus tard, en 1985, que les implants UV-blockers sont apparus afin de réduire la transmission des ultraviolets (UV) à la rétine. Dans les années 2000, la phototoxicité de la lumière bleue (LB) est reconnue, les premiers implants jaunes apparaissent sur le marché dans ce contexte. Ce filtre jaune a représenté une étape importante dans la filtration des courtes longueurs d’onde (400-430 nm) après celle des ultraviolets.
Le diagnostic et le suivi du glaucome chez un myope fort sont particulièrement complexes en raison des altérations structurelles du segment postérieur et de l’apparence trompeuse de la papille optique, pouvant retentir ainsi sur la fonction visuelle. Ce diagnostic repose sur une analyse fonctionnelle et structurelle combinée, l’évolution étant un indicateur fort d’une neuropathie optique glaucomateuse. De plus, le parallélisme structure-fonction est de mise dans la pathologie glaucomateuse, sa présence étant un outil diagnostic très suggestif de l’existence de la pathologie […
La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) demeure la principale cause de perte de vision chez les personnes de plus de 50 ans dans les pays développés. La néovascularisation maculaire (NVM) est la caractéristique commune à toutes les formes de DMLA exsudative. Dans cet article, nous explorerons le pronostic fonctionnel et anatomique ainsi que la réponse thérapeutique de la NVM de type 1 par rapport aux autres formes de néovascularisation dans la vraie vie.
Au cours des dernières décennies, le paysage ophtalmologique du kératocône a fortement évolué. En effet, le kératocône était encore considéré jusqu’à il y a peu comme une pathologie rare (1/2 000). Ce sont l’essor des technologies en ophtalmologie, et notamment la généralisation de l’utilisation de la topographie en pratique courante d’une part, et la multiplication des demandes de chirurgie réfractive cornéenne d’autre part, qui ont permis le dépistage de nombreux kératocônes.
