Echographie
Le déficit en cellules souches limbiques (DCSL) est l’expression d’un double processus : une régénération insuffisante de l’épithélium de la cornée, ne pouvant assurer son maintien physiologique (homéostasie), associée à une invasion cornéenne par une prolifération conjonctivale. Il peut être dû à des étiologies variées résultant d’une diminution du nombre de cellules souches limbiques ou d’une anomalie de leur fonction.
Les sources de données sont nombreuses dans le domaine de la chirurgie de cataracte. Elles peuvent provenir de l’administration, de systèmes de facturation, de registres cliniques ou du dossier médical électronique. Celles que nous présentons dans cet article sont récentes et proviennent du Système National des Données de Santé.
Avec l’année blanche, nombre d’entre vous s’interrogent sur la déductibilité des travaux ou non en matière de revenus fonciers, que ce soit dans le cadre de vos SCI ou de vos investissements locatifs.
La surface oculaire recouvre l’ensemble des structures qui protègent l’œil des agressions environnementales permanentes. Elle est composée de tissus en constantes interactions et repose sur de fins mécanismes de régulation. Avec le vieillissement, ces modes de défense sont perturbés et peuvent entraîner progressivement un glissement vers des pathologies chroniques, pour peu que des agressions aiguës ou des stimulations répétées prennent le pas sur les systèmes de protection (figure 1).
La cornée est le tissu périphérique le plus densément innervé du corps humain. Une atteinte de l’innervation cornéenne entraînera des symptômes allant de la diminution de la sensibilité oculaire simple sans lésion cornéenne jusqu’à la kératite neurotrophique et la perforation cornéenne, en passant par le syndrome de sécheresse oculaire. Au cours du vieillissement, la densité de l’innervation diminue et il est important de connaître les causes principales d’altération de l’innervation pour agir de façon préventive.
