Echographie
Les techniques de référence pour la chirurgie du glaucome (trabéculectomie et sclérectomie profonde non perforante), qui réduisent la pression intraoculaire, exposent à un certain nombre de complications lors de l’évacuation de l’humeur aqueuse transconjonctivale. De nouvelles techniques chirurgicales et de nouveaux dispositifs implantables ont été développés de façon à réduire la PIO en facilitant cette évacuation par différentes voies, mais avec une incision des parois de l’œil de taille plus limitée et de diamètre mieux contrôlé.
En 1888, Adolf Fick, physiologiste allemand, propose d’utiliser les lentilles de contact rigides chez les patients atteints d’un kératocône. Le film lacrymal entre la lentille rigide et la cornée crée une interface régulière permettant une amélioration de la qualité visuelle chez ces patients présentant un astigmatisme irrégulier. L’adaptation passe par plusieurs étapes permettant de choisir la lentille la mieux appropriée au type de kératocône et au patient.
Nous rapportons le cas de Mme F., âgée de 71 ans, d’origine grecque, qui a consulté à plusieurs reprises aux urgences ophtalmologiques pour un trouble visuel s’aggravant rapidement.
Il arrive fréquemment, lors du suivi d’un patient atteint d’une DMLA exsudative, que ce dernier entre dans la catégorie des « résistants », ou réfractaires, malgré un traitement par anti-VEGF. Quelle attitude adopter dans un tel cas ? Il convient tout d’abord de rappeler que la DMLA est la première cause de malvoyance chez les plus de 50 ans dans les pays développés. Elle est principalement due au retard thérapeutique ou à un rythme de traitement inadapté, c’est-à-dire sous-optimal, dans le cas de la DMLA exsudative. L’avènement des anti-VEGF a considérablement…
Certaines affections, telles que les palissades, les trous et les déchirures, peuvent entraîner des baisses d’acuité visuelle pouvant aller jusqu’à la cécité. Si le traitement préventif au laser permet de réduire le risque de survenue d’un décollement de rétine, il n’est cependant pas approprié à toutes les lésions et dans certains cas, il conviendra d’adapter la prise en charge au cas par cas car il n’existe aucune recommandation avec un niveau de preuve suffisant pour guider les pratiques.
