Echographie
L’OCT (Optical Coherence Tomography) est devenu l’outil indispensable pour le suivi et le traitement de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). C’est la répétition de cet examen, à la recherche de phénomènes exsudatifs, qui va conditionner la mise en place d’un traitement par injection intravitréenne d’anti-VEGF.
La DMLA est la principale cause de cécité après 50 ans dans les pays industrialisés, la forme atrophique pure représentant 31 % des cas. Tandis que la prise en charge de la forme exsudative a bénéficié de progrès majeurs avec l’apparition des anti-VEGF, les moyens thérapeutiques pour la forme atrophique restent limités en pratique quotidienne. Néanmoins, une meilleure compréhension des phénomènes physio-pathogéniques qui concourent à l’atrophie maculaire font espérer que de nouveaux traitements pourront être bientôt disponibles.
Depuis environ une décennie, prévenir le risque de DMLA, et ses complications, pour les patients présentant des signes précurseurs est devenu un objectif et n’est plus une utopie. L’intérêt des compléments alimentaires dans cette indication est connu depuis la publication des résultats de l’étude AREDS 1. Mais les pratiques cliniques ont aujourd’hui indéniablement changé et se sont adaptées aux nouvelles connaissances. L’étude AREDS 2, actuellement en cours, tente de répondre aux nombreuses questions qui demeurent, dans un domaine en constante évolution.
Les blépharites correspondent à l’inflammation du bord libre palpébral. On distingue les blépharites antérieures, siégeant dans la région d’implantation des cils, et les blépharites postérieures, qui associent un dysfonctionnement des glandes de Meibomius à une inflammation. Les blépharites mixtes regroupent les deux précédentes. Elles sont une cause fréquente d’irritation, de sécheresse ou d’inflammation oculaire.
"La contactologie à travers la presse" est une revue de presse régulièrement proposée
