Echographie
Si les verres ophtalmiques sont avant tout « correcteurs », ils sont aussi « protecteurs » contre les effets nocifs de la lumière. Après un premier article consacré à la pro tection contre la lumière bleu-violet, ce deuxième article aborde la protection contre les ultraviolets par les verres ophtalmiques. Il montre combien il est nécessaire de se protéger des UV par transmission à travers les verres mais aussi par réflexion sur leur face arrière. Il présente aussi l'indice de protection anti-UV E-SPF® (ou Eye-Sun Protection Factor®), désormais utilisé pour…
L'insuffisance limbique correspond à une perte complète ou partielle de la fonction des cellules souches de l'épithélium cornéen. La base du diagnostic clinique précoce est l'examen de la cornée en lumière bleue après instillation de fluorescéine et rinçage de la surface oculaire, le diagnostic de certitude reposant sur la microscopie confocale. L'évaluation précise de l'état de la surface oculaire et des annexes est un préalable au choix d'une stratégie thérapeutique : greffe de membrane amniotique, de tissu limbique, de cellules souches limbiques cultivées…
La correction de l'astigmatisme cornéen est désormais un facteur clef lors d'une chirurgie de la cataracte. La technique du marquage « manuel » reste en partie imprécise même si les résultats sont satisfaisants. Cet article présente et compare les deux systèmes de guidage torique automatisés à notre disposition, qui permettent d'améliorer la précision de l'implantation torique.
Depuis quelques années, une collaboration fructueuse s'est mise en place entre les spécialistes de la surface oculaire et les contactologues. En effet, dans de nombreuses pathologies de surface, une lentille permet une protection et une lubrification, diminue les douleurs et favorise la cicatrisation. L'apport de matériaux à haute perméabilité à l'oxygène pour les lentilles rigides ainsi que le silicone-hydrogel pour les lentilles souples ont augmenté considérablement les indications et la tolérance cornéenne des lentilles dans leur usage thérapeutique.
Les conservateurs restent encore aujourd'hui des molécules largement retrouvées dans les traitements ophtalmologiques. Ils sont pourtant potentiellement à l'origine d'altérations des structures de la surface oculaire et doivent être si possible évités surtout en cas de pathologie chronique ophtalmologique. Tout patient qui présente des symptômes d'atteinte de la surface oculaire devra bénéficier d'un examen clinique permettant d'éliminer une cause iatrogène. L'émergence des produits unidoses ou des systèmes ABAK dans notre pharmacopée aide le praticien dans ses…
