Echographie
Toute décision thérapeutique repose sur une convergence d’arguments. Avec l’arrivée de l’OCT-A, la réalisation systématique d’une angiographie à la fluorescéine, examen invasif non sans risque, fait débat. Utilisé au quotidien en neuro-ophtalmologie, l’examen du réflexe afférent pupillaire sait également être utile dans la surveillance d’une occlusion de veine centrale de la rétine. Son déficit est appelé « signe de Marcus Gunn ».
Test de dépistage publié en 1947 par le Dr Marc Amsler [1] et connu du grand public grâce aux campagnes publicitaires, cet examen est devenu la référence pour la détection du syndrome maculaire chez les patients atteints de maculopathie liée à l’âge. Ce syndrome est caractérisé par une baisse d’acuité visuelle ou un/des scotome(s) et/ou des métamorphopsies.
Mme L., âgée de 40 ans est suivie depuis 3 mois pour un décollement séreux rétinien (DSR) persistant dans le cadre d’une choriorétinite séreuse centrale (CRSC) de l’œil gauche.
Les protocoles organisationnels ouvrent de nouvelles perspectives. Concrètement, qu’autorisent-ils ? Quelles conditions doivent être respectées ?
Densité de la perfusion vasculaire rétinienne calculée grâce à l’OCT-A chez des patients normaux et chez des patients atteints de rétinopathie diabétique et Suivi en OCT-A des néovaisseaux de type 3 (anastomoses) après traitement par anti-VEGF
