Traiter la DMLA atrophique en deux fois

Des chercheurs américains ont réussi à mesurer l’autofluorescence de la rétine chez des patients atteints de DMLA atrophique. Et ils ont observé que, dans le cas d’une DMLA avancée, cette autofluorescence était deux fois plus importante chez les personnes présentant des dépôts drusénoïdes sous-rétiniens (DDSR) que chez celles présentant des drusens. Et qu’elle provenait d’une unique couche de cellules malades.

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