Toxoplasmose oculaire : ne pas méconnaître les différentes formes cliniques

Le diagnostic de toxoplasmose oculaire, première cause d’uvéite postérieure, repose le
plus souvent sur une présomption clinique devant la présence d’une lésion évocatrice
du fond d’oeil. Il existe néanmoins une variété de présentations moins communes, atypi -
ques, avec lesquelles les cliniciens sont moins familiers. Ces formes inhabituelles sont
fréquemment à l’origine d’un retard diagnostique et thérapeutique. L’objet de cet article
est donc de présenter des cas illustrés de rétinochoroïdite toxoplasmique de diagnostic
parfois difficile.

Auteurs

L'accès à la totalité de la page est protégé.

Je m'inscris

Identifiez-vous