Le tonomètre à air pulsé : un risque d’émission de gouttelettes contenant des pathogènes

Une étude indienne vient de montrer que l’usage d’un tonomètre (lors du dépistage du glaucome par exemple) entraîne l’émission de gouttelettes lacrymales hors de l’œil. Or les larmes peuvent contenir différents pathogènes (dont le SARS-CoV-2). Les auteurs soulignent l’intérêt de cette découverte pour améliorer les mesures de sécurité lors d’un examen a priori considéré comme sans risque.

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