Le CESP concerne également les ophtalmologistes

L’objectif du contrat d’engagement de service public (CESP) est d’attirer des futurs médecins dans des zones où la démographie médicale est déclinante.

Les députés viennent de lui faire subir un lifting : alors que les « zones sous-dotées » n’étaient définies qu’à partir de la densité en médecins généralistes, cette référence est abandonnée dans le PLFSS, ce qui devrait permettre aux ARS de dessiner elles-mêmes les contours des zones pouvant accueillir des jeunes en CESP.

Les futurs médecins qui signent un CESP touchent une allocation brute mensuelle de 1 200 euros jusqu’à la fin de leurs études. En contrepartie, ils s’engagent à exercer leurs fonctions, à compter de la fin de leur formation, dans  des zones où la continuité des soins fait défaut et à un tarif conventionnel. La durée de leur engagement est égale à celle de versement de l’allocation, avec un minimum de deux ans.

Depuis 2011, 380 contrats ont été signés et le gouvernement table sur 429 supplémentaires en 2013.

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