DMLA : vers une thérapie génique délivrée par nanoparticules ?

Des nanoparticules transportant un gène codant pour un anti-VEGF au cœur des cellules rétiniennes pourraient constituer, en cas de DMLA néovasculaire, une alternative aux injections intra-vitréennes (IIV), et à la thérapie génique avec vecteur viral. C’est ce que vient de montrer une étude américaine menée sur des rats et des souris.

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