Anti-VEGF : la Cnam souligne la faible pénétration des biosimilaires

Fin juillet, l’Assurance maladie a présenté ses propositions pour 2026. Elle y relève que les dépenses liées aux anti-VEGF atteignent 918 M€ en 2024 (+ 3,5 % par an depuis 2019) et que l’arrivée des biosimilaires du ranibizumab (Lucentis®) et prochainement de l’aflibercept (Eylea®) devait représenter une source majeure d’économies. 

L'accès à la totalité de la page est protégé.

Je m'inscris

Identifiez-vous