32e Edition internationale des Ateliers d’Ophtalmologie Pratique
Le congrès Advanced Ophthalmologic Pratice aura lieu les 10 et 11 janvier 2020 au Palais des Congrès, à Paris. Pour cette 32e édition, il proposera 120 ateliers, animés par 180 orateurs, afin d’offrir une mise à jour des connaissances complète face aux nouveaux enjeux de la profession. L’application AOPAcademy, disponible gratuitement, permet en outre d’accéder à 650 vidéos issues des ateliers des précédentes éditions, mais également de parcourir les 13 thèmes qui seront à l’honneur cette année.
Figure 6. Métastases choroïdiennes d’un cancer pulmonaire chez un homme de 63 ans. A. Rétinophotographie montrant 3 lésions choroïdiennes achromes. B. Angiographie à la fluorescéine (temps intermédiaire) montrant des pin points au niveau des lésions. C. Angiographie ICG (temps intermédiaire) montrant très clairement 3 lésions hypofluorescentes. D et E. Coupes OCT montrant un DSR périlésionnel et une masse choroïdienne à surface irrégulière bosselée caractéristique d’une métastase.
Figure 5. A. Rétinophotographie montrant une lésion choroïdienne achrome rose-orangé. B. Angiographie ICG précoce montrant une hyperfluorescence diffuse témoignant d’une lésion hypervascularisée. C. Angiographie ICG tardive montrant une hypofluorescence (phénomène de « wash-out »). D. OCT maculaire (coupe verticale) montrant un DSR et une masse choroïdienne induisant un soulèvement de l’épithélium pigmentaire en supérieur.
Figure 3. Figure 3. Fossette colobomateuse de la papille. A. Photographie de la papille montrant une encoche (flèche blanche). B. Cliché infrarouge montrant la coupe de l’OCT (flèche verte). C. Coupe OCT horizontale montrant un important DSR maculaire allant jusqu’à la papille.A. Photographie de la papille montrant une encoche (flèche blanche). B. Cliché infrarouge montrant la coupe de l’OCT (flèche verte). C. Coupe OCT horizontale montrant un important DSR maculaire allant jusqu’à la papille.
Figure 1. A. Coupe OCT horizontale montrant des DEP. B. ICG précoce montrant l’hyperfluorescence focale précoce correspondant à un volumineux lacis polypoïdal (flèche verte indiquant la coupe de l’OCT).
Figure 2. A. Angiographie à la fluorescéine (temps précoce) montrant une hyperfluorescence modérée et d’aspect irrégulier. B. Angiographie ICG (temps tardif) montrant une hyperfluorescence franche correspondant à un réseau néovasculaire occulte. C. OCT montrant un DEP plan irrégulier, siège du néovaisseau occulte (sous-épithélial), associé à des manifestations exsudatives : DSR et épaississement rétinien focal en regard.
Figure 4. Imagerie multimodale d’un patient de 70 ans présentant un syndrome de pachychoroïde péripapillaire. Le cliché en autofluorescence bilatéral (A, B) met en évidence des altérations hyper-autofluorescentes de distribution péripapillaire correspondant à des zones hyperfluorescentes hétérogènes sur l’angiographie à la fluorescéine au temps tardif (C, D). Les plages d’hyperperméabilité vasculaire choroïdienne sur le cliché en ICG au temps intermédiaire (E, F) sont surtout localisées en supéropapillaire des 2 côtés. L’OCT EDI central met en évidence des kystes intrarétiniens de distribution interpapillomaculaire des 2 côtés (G, H), associés à un DSR seulement sur l’œil gauche (H). L’épaisseur choroïdienne fovéolaire est mesurée à plus de 500 microns des 2 côtés et la choroïde est particulièrement épaissie en nasal de la macula.
Figure 3. Clichés en autofluorescence (A, B) et OCT en mode EDI (C, D) d’une patiente de 55 ans avec une excavation choroïdienne focale fovéolaire au niveau de l’œil gauche. Au niveau de l’œil droit, la patiente présente une pachychoroïde à plus de 500 microns en fovéolaire associée à quelques AEP infracliniques visibles sur le cliché en autofluorescence. Au niveau de l’œil gauche, le cliché en autofluorescence met en évidence une hyper-autofluorescence centrale qui évoque un DSR chronique. Sur l’OCT EDI on note une excavation choroïdienne focale centrale non conforme, avec interposition d’un espace hyporéflectif entre les photorécepteurs et l’EPR (D).
Pachychoroïde associée à des néovaisseaux choroïdiens
Figure 2. Imagerie multimodale d’un patient de 55 ans présentant une baisse d’acuité visuelle de l’œil droit liée à une vasculopathie polypoïdale associée à une pachychoroïde. Sur le cliché en autofluorescence (A), on note une ébauche de coulée gravitationnelle inféromaculaire. Sur l’angiographie à la fluorescéine au temps tardif (B), il y a une hyperfluorescence hétérogène maculaire avec des pin points. L’angiographie au vert d’indocyanine (C) met en évidence au temps précoce des dilatations polypoïdales en bordure d’un lacis néovasculaire de type 1. Le lacis néovasculaire est bien visible sur l’OCT-A (D), segmenté au niveau de la choriocapillaire (E). La coupe fovéolaire horizontale d’OCT en mode EDI met en évidence des dilatations ogivales entre la membrane de Bruch et l’EPR typiques de polypes, associées à une pachychoroïde mesurée à près de 600 microns au centre de la fovea et à un DSR central.
Figure 1. Imagerie multimodale d’un patient de 45 ans ayant consulté pour des métamorphopsies modérées de l’œil droit sans baisse d’acuité visuelle, avec rétinophotos couleur (A, B), clichés en autofluorescence (C, D) et coupe verticale fovéolaire en OCT en mode EDI de l’œil droit (E). Au niveau de l’œil droit, on note des migrations pigmentaires inféromaculaires sur le cliché couleur (A), hyper-autofluorescentes (B), qui correspondent à des irrégularités minimes des couches profondes en OCT au niveau d’un pachyvaisseau choroïdien (flèche blanche, E). L’épaisseur choroïdienne fovéolaire est mesurée à plus de 450 microns. Au niveau de l’œil gauche, le patient présentait un fond d’œil sans anomalie significative en couleur ou en autofluorescence (B, D) et une pachychoroïde sur l’OCT (non montrée).
Figure 1. Cas typique d’une CRSC aiguë [2]. A. SD-OCT avec épaississement choroïdien, pachyvaisseaux et amincissement de la choriocapillaire en dessous du point de fuite associé à un petit DEP et une érosion des segments externes des photorécepteurs en regard. C. FA typique avec diffusion du point de fuite en tache d’encre. D. Hypo-autofluorescence du point de fuite associé à une hyper-autofluorescence granulaire.
Figure 1. A. Coupe OCT horizontale montrant des DEP. B. ICG précoce montrant l’hyperfluorescence focale précoce correspondant à un volumineux lacis polypoïdal (flèche verte indiquant la coupe de l’OCT).
Figure 5. A. Rétinophotographie montrant une lésion choroïdienne achrome rose-orangé. B. Angiographie ICG précoce montrant une hyperfluorescence diffuse témoignant d’une lésion hypervascularisée. C. Angiographie ICG tardive montrant une hypofluorescence (phénomène de « wash-out »). D. OCT maculaire (coupe verticale) montrant un DSR et une masse choroïdienne induisant un soulèvement de l’épithélium pigmentaire en supérieur.
Figure 3. Figure 3. Fossette colobomateuse de la papille. A. Photographie de la papille montrant une encoche (flèche blanche). B. Cliché infrarouge montrant la coupe de l’OCT (flèche verte). C. Coupe OCT horizontale montrant un important DSR maculaire allant jusqu’à la papille.A. Photographie de la papille montrant une encoche (flèche blanche). B. Cliché infrarouge montrant la coupe de l’OCT (flèche verte). C. Coupe OCT horizontale montrant un important DSR maculaire allant jusqu’à la papille.
Figure 2. A. Angiographie à la fluorescéine (temps précoce) montrant une hyperfluorescence modérée et d’aspect irrégulier. B. Angiographie ICG (temps tardif) montrant une hyperfluorescence franche correspondant à un réseau néovasculaire occulte. C. OCT montrant un DEP plan irrégulier, siège du néovaisseau occulte (sous-épithélial), associé à des manifestations exsudatives : DSR et épaississement rétinien focal en regard.
Figure 1. A. Coupe OCT horizontale montrant des DEP. B. ICG précoce montrant l’hyperfluorescence focale précoce correspondant à un volumineux lacis polypoïdal (flèche verte indiquant la coupe de l’OCT).
Figure 6. Métastases choroïdiennes d’un cancer pulmonaire chez un homme de 63 ans. A. Rétinophotographie montrant 3 lésions choroïdiennes achromes. B. Angiographie à la fluorescéine (temps intermédiaire) montrant des pin points au niveau des lésions. C. Angiographie ICG (temps intermédiaire) montrant très clairement 3 lésions hypofluorescentes. D et E. Coupes OCT montrant un DSR périlésionnel et une masse choroïdienne à surface irrégulière bosselée caractéristique d’une métastase.
Figure 3. Figure 3. Fossette colobomateuse de la papille. A. Photographie de la papille montrant une encoche (flèche blanche). B. Cliché infrarouge montrant la coupe de l’OCT (flèche verte). C. Coupe OCT horizontale montrant un important DSR maculaire allant jusqu’à la papille.A. Photographie de la papille montrant une encoche (flèche blanche). B. Cliché infrarouge montrant la coupe de l’OCT (flèche verte). C. Coupe OCT horizontale montrant un important DSR maculaire allant jusqu’à la papille.
Figure 2. A. Angiographie à la fluorescéine (temps précoce) montrant une hyperfluorescence modérée et d’aspect irrégulier. B. Angiographie ICG (temps tardif) montrant une hyperfluorescence franche correspondant à un réseau néovasculaire occulte. C. OCT montrant un DEP plan irrégulier, siège du néovaisseau occulte (sous-épithélial), associé à des manifestations exsudatives : DSR et épaississement rétinien focal en regard.
Figure 1. A. Coupe OCT horizontale montrant des DEP. B. ICG précoce montrant l’hyperfluorescence focale précoce correspondant à un volumineux lacis polypoïdal (flèche verte indiquant la coupe de l’OCT).
Figure 6. Métastases choroïdiennes d’un cancer pulmonaire chez un homme de 63 ans. A. Rétinophotographie montrant 3 lésions choroïdiennes achromes. B. Angiographie à la fluorescéine (temps intermédiaire) montrant des pin points au niveau des lésions. C. Angiographie ICG (temps intermédiaire) montrant très clairement 3 lésions hypofluorescentes. D et E. Coupes OCT montrant un DSR périlésionnel et une masse choroïdienne à surface irrégulière bosselée caractéristique d’une métastase.
Figure 5. A. Rétinophotographie montrant une lésion choroïdienne achrome rose-orangé. B. Angiographie ICG précoce montrant une hyperfluorescence diffuse témoignant d’une lésion hypervascularisée. C. Angiographie ICG tardive montrant une hypofluorescence (phénomène de « wash-out »). D. OCT maculaire (coupe verticale) montrant un DSR et une masse choroïdienne induisant un soulèvement de l’épithélium pigmentaire en supérieur.
Figure 2. A. Angiographie à la fluorescéine (temps précoce) montrant une hyperfluorescence modérée et d’aspect irrégulier. B. Angiographie ICG (temps tardif) montrant une hyperfluorescence franche correspondant à un réseau néovasculaire occulte. C. OCT montrant un DEP plan irrégulier, siège du néovaisseau occulte (sous-épithélial), associé à des manifestations exsudatives : DSR et épaississement rétinien focal en regard.
Figure 6. Métastases choroïdiennes d’un cancer pulmonaire chez un homme de 63 ans. A. Rétinophotographie montrant 3 lésions choroïdiennes achromes. B. Angiographie à la fluorescéine (temps intermédiaire) montrant des pin points au niveau des lésions. C. Angiographie ICG (temps intermédiaire) montrant très clairement 3 lésions hypofluorescentes. D et E. Coupes OCT montrant un DSR périlésionnel et une masse choroïdienne à surface irrégulière bosselée caractéristique d’une métastase.
Figure 5. A. Rétinophotographie montrant une lésion choroïdienne achrome rose-orangé. B. Angiographie ICG précoce montrant une hyperfluorescence diffuse témoignant d’une lésion hypervascularisée. C. Angiographie ICG tardive montrant une hypofluorescence (phénomène de « wash-out »). D. OCT maculaire (coupe verticale) montrant un DSR et une masse choroïdienne induisant un soulèvement de l’épithélium pigmentaire en supérieur.
Figure 3. Figure 3. Fossette colobomateuse de la papille. A. Photographie de la papille montrant une encoche (flèche blanche). B. Cliché infrarouge montrant la coupe de l’OCT (flèche verte). C. Coupe OCT horizontale montrant un important DSR maculaire allant jusqu’à la papille.A. Photographie de la papille montrant une encoche (flèche blanche). B. Cliché infrarouge montrant la coupe de l’OCT (flèche verte). C. Coupe OCT horizontale montrant un important DSR maculaire allant jusqu’à la papille.
Figure 2. A. Angiographie à la fluorescéine (temps précoce) montrant une hyperfluorescence modérée et d’aspect irrégulier. B. Angiographie ICG (temps tardif) montrant une hyperfluorescence franche correspondant à un réseau néovasculaire occulte. C. OCT montrant un DEP plan irrégulier, siège du néovaisseau occulte (sous-épithélial), associé à des manifestations exsudatives : DSR et épaississement rétinien focal en regard.
Figure 1. A. Coupe OCT horizontale montrant des DEP. B. ICG précoce montrant l’hyperfluorescence focale précoce correspondant à un volumineux lacis polypoïdal (flèche verte indiquant la coupe de l’OCT).
Figure 6. Métastases choroïdiennes d’un cancer pulmonaire chez un homme de 63 ans. A. Rétinophotographie montrant 3 lésions choroïdiennes achromes. B. Angiographie à la fluorescéine (temps intermédiaire) montrant des pin points au niveau des lésions. C. Angiographie ICG (temps intermédiaire) montrant très clairement 3 lésions hypofluorescentes. D et E. Coupes OCT montrant un DSR périlésionnel et une masse choroïdienne à surface irrégulière bosselée caractéristique d’une métastase.
Figure 5. A. Rétinophotographie montrant une lésion choroïdienne achrome rose-orangé. B. Angiographie ICG précoce montrant une hyperfluorescence diffuse témoignant d’une lésion hypervascularisée. C. Angiographie ICG tardive montrant une hypofluorescence (phénomène de « wash-out »). D. OCT maculaire (coupe verticale) montrant un DSR et une masse choroïdienne induisant un soulèvement de l’épithélium pigmentaire en supérieur.
Figure 3. Figure 3. Fossette colobomateuse de la papille. A. Photographie de la papille montrant une encoche (flèche blanche). B. Cliché infrarouge montrant la coupe de l’OCT (flèche verte). C. Coupe OCT horizontale montrant un important DSR maculaire allant jusqu’à la papille.A. Photographie de la papille montrant une encoche (flèche blanche). B. Cliché infrarouge montrant la coupe de l’OCT (flèche verte). C. Coupe OCT horizontale montrant un important DSR maculaire allant jusqu’à la papille.
Figure 2. A. Angiographie à la fluorescéine (temps précoce) montrant une hyperfluorescence modérée et d’aspect irrégulier. B. Angiographie ICG (temps tardif) montrant une hyperfluorescence franche correspondant à un réseau néovasculaire occulte. C. OCT montrant un DEP plan irrégulier, siège du néovaisseau occulte (sous-épithélial), associé à des manifestations exsudatives : DSR et épaississement rétinien focal en regard.
Figure 1. A. Coupe OCT horizontale montrant des DEP. B. ICG précoce montrant l’hyperfluorescence focale précoce correspondant à un volumineux lacis polypoïdal (flèche verte indiquant la coupe de l’OCT).
Figure 6. Métastases choroïdiennes d’un cancer pulmonaire chez un homme de 63 ans. A. Rétinophotographie montrant 3 lésions choroïdiennes achromes. B. Angiographie à la fluorescéine (temps intermédiaire) montrant des pin points au niveau des lésions. C. Angiographie ICG (temps intermédiaire) montrant très clairement 3 lésions hypofluorescentes. D et E. Coupes OCT montrant un DSR périlésionnel et une masse choroïdienne à surface irrégulière bosselée caractéristique d’une métastase.
Figure 5. A. Rétinophotographie montrant une lésion choroïdienne achrome rose-orangé. B. Angiographie ICG précoce montrant une hyperfluorescence diffuse témoignant d’une lésion hypervascularisée. C. Angiographie ICG tardive montrant une hypofluorescence (phénomène de « wash-out »). D. OCT maculaire (coupe verticale) montrant un DSR et une masse choroïdienne induisant un soulèvement de l’épithélium pigmentaire en supérieur.
Figure 3. Figure 3. Fossette colobomateuse de la papille. A. Photographie de la papille montrant une encoche (flèche blanche). B. Cliché infrarouge montrant la coupe de l’OCT (flèche verte). C. Coupe OCT horizontale montrant un important DSR maculaire allant jusqu’à la papille.A. Photographie de la papille montrant une encoche (flèche blanche). B. Cliché infrarouge montrant la coupe de l’OCT (flèche verte). C. Coupe OCT horizontale montrant un important DSR maculaire allant jusqu’à la papille.
Figure 1. Imagerie multimodale d’un patient de 45 ans ayant consulté pour des métamorphopsies modérées de l’œil droit sans baisse d’acuité visuelle, avec rétinophotos couleur (A, B), clichés en autofluorescence (C, D) et coupe verticale fovéolaire en OCT en mode EDI de l’œil droit (E). Au niveau de l’œil droit, on note des migrations pigmentaires inféromaculaires sur le cliché couleur (A), hyper-autofluorescentes (B), qui correspondent à des irrégularités minimes des couches profondes en OCT au niveau d’un pachyvaisseau choroïdien (flèche blanche, E). L’épaisseur choroïdienne fovéolaire est mesurée à plus de 450 microns. Au niveau de l’œil gauche, le patient présentait un fond d’œil sans anomalie significative en couleur ou en autofluorescence (B, D) et une pachychoroïde sur l’OCT (non montrée).
Figure 3. Clichés en autofluorescence (A, B) et OCT en mode EDI (C, D) d’une patiente de 55 ans avec une excavation choroïdienne focale fovéolaire au niveau de l’œil gauche. Au niveau de l’œil droit, la patiente présente une pachychoroïde à plus de 500 microns en fovéolaire associée à quelques AEP infracliniques visibles sur le cliché en autofluorescence. Au niveau de l’œil gauche, le cliché en autofluorescence met en évidence une hyper-autofluorescence centrale qui évoque un DSR chronique. Sur l’OCT EDI on note une excavation choroïdienne focale centrale non conforme, avec interposition d’un espace hyporéflectif entre les photorécepteurs et l’EPR (D).
Pachychoroïde associée à des néovaisseaux choroïdiens
Figure 2. Imagerie multimodale d’un patient de 55 ans présentant une baisse d’acuité visuelle de l’œil droit liée à une vasculopathie polypoïdale associée à une pachychoroïde. Sur le cliché en autofluorescence (A), on note une ébauche de coulée gravitationnelle inféromaculaire. Sur l’angiographie à la fluorescéine au temps tardif (B), il y a une hyperfluorescence hétérogène maculaire avec des pin points. L’angiographie au vert d’indocyanine (C) met en évidence au temps précoce des dilatations polypoïdales en bordure d’un lacis néovasculaire de type 1. Le lacis néovasculaire est bien visible sur l’OCT-A (D), segmenté au niveau de la choriocapillaire (E). La coupe fovéolaire horizontale d’OCT en mode EDI met en évidence des dilatations ogivales entre la membrane de Bruch et l’EPR typiques de polypes, associées à une pachychoroïde mesurée à près de 600 microns au centre de la fovea et à un DSR central.
Figure 1. Imagerie multimodale d’un patient de 45 ans ayant consulté pour des métamorphopsies modérées de l’œil droit sans baisse d’acuité visuelle, avec rétinophotos couleur (A, B), clichés en autofluorescence (C, D) et coupe verticale fovéolaire en OCT en mode EDI de l’œil droit (E). Au niveau de l’œil droit, on note des migrations pigmentaires inféromaculaires sur le cliché couleur (A), hyper-autofluorescentes (B), qui correspondent à des irrégularités minimes des couches profondes en OCT au niveau d’un pachyvaisseau choroïdien (flèche blanche, E). L’épaisseur choroïdienne fovéolaire est mesurée à plus de 450 microns. Au niveau de l’œil gauche, le patient présentait un fond d’œil sans anomalie significative en couleur ou en autofluorescence (B, D) et une pachychoroïde sur l’OCT (non montrée).
Figure 4. Imagerie multimodale d’un patient de 70 ans présentant un syndrome de pachychoroïde péripapillaire. Le cliché en autofluorescence bilatéral (A, B) met en évidence des altérations hyper-autofluorescentes de distribution péripapillaire correspondant à des zones hyperfluorescentes hétérogènes sur l’angiographie à la fluorescéine au temps tardif (C, D). Les plages d’hyperperméabilité vasculaire choroïdienne sur le cliché en ICG au temps intermédiaire (E, F) sont surtout localisées en supéropapillaire des 2 côtés. L’OCT EDI central met en évidence des kystes intrarétiniens de distribution interpapillomaculaire des 2 côtés (G, H), associés à un DSR seulement sur l’œil gauche (H). L’épaisseur choroïdienne fovéolaire est mesurée à plus de 500 microns des 2 côtés et la choroïde est particulièrement épaissie en nasal de la macula.
Pachychoroïde associée à des néovaisseaux choroïdiens
Figure 2. Imagerie multimodale d’un patient de 55 ans présentant une baisse d’acuité visuelle de l’œil droit liée à une vasculopathie polypoïdale associée à une pachychoroïde. Sur le cliché en autofluorescence (A), on note une ébauche de coulée gravitationnelle inféromaculaire. Sur l’angiographie à la fluorescéine au temps tardif (B), il y a une hyperfluorescence hétérogène maculaire avec des pin points. L’angiographie au vert d’indocyanine (C) met en évidence au temps précoce des dilatations polypoïdales en bordure d’un lacis néovasculaire de type 1. Le lacis néovasculaire est bien visible sur l’OCT-A (D), segmenté au niveau de la choriocapillaire (E). La coupe fovéolaire horizontale d’OCT en mode EDI met en évidence des dilatations ogivales entre la membrane de Bruch et l’EPR typiques de polypes, associées à une pachychoroïde mesurée à près de 600 microns au centre de la fovea et à un DSR central.
Figure 1. Imagerie multimodale d’un patient de 45 ans ayant consulté pour des métamorphopsies modérées de l’œil droit sans baisse d’acuité visuelle, avec rétinophotos couleur (A, B), clichés en autofluorescence (C, D) et coupe verticale fovéolaire en OCT en mode EDI de l’œil droit (E). Au niveau de l’œil droit, on note des migrations pigmentaires inféromaculaires sur le cliché couleur (A), hyper-autofluorescentes (B), qui correspondent à des irrégularités minimes des couches profondes en OCT au niveau d’un pachyvaisseau choroïdien (flèche blanche, E). L’épaisseur choroïdienne fovéolaire est mesurée à plus de 450 microns. Au niveau de l’œil gauche, le patient présentait un fond d’œil sans anomalie significative en couleur ou en autofluorescence (B, D) et une pachychoroïde sur l’OCT (non montrée).
Figure 4. Imagerie multimodale d’un patient de 70 ans présentant un syndrome de pachychoroïde péripapillaire. Le cliché en autofluorescence bilatéral (A, B) met en évidence des altérations hyper-autofluorescentes de distribution péripapillaire correspondant à des zones hyperfluorescentes hétérogènes sur l’angiographie à la fluorescéine au temps tardif (C, D). Les plages d’hyperperméabilité vasculaire choroïdienne sur le cliché en ICG au temps intermédiaire (E, F) sont surtout localisées en supéropapillaire des 2 côtés. L’OCT EDI central met en évidence des kystes intrarétiniens de distribution interpapillomaculaire des 2 côtés (G, H), associés à un DSR seulement sur l’œil gauche (H). L’épaisseur choroïdienne fovéolaire est mesurée à plus de 500 microns des 2 côtés et la choroïde est particulièrement épaissie en nasal de la macula.
Figure 3. Clichés en autofluorescence (A, B) et OCT en mode EDI (C, D) d’une patiente de 55 ans avec une excavation choroïdienne focale fovéolaire au niveau de l’œil gauche. Au niveau de l’œil droit, la patiente présente une pachychoroïde à plus de 500 microns en fovéolaire associée à quelques AEP infracliniques visibles sur le cliché en autofluorescence. Au niveau de l’œil gauche, le cliché en autofluorescence met en évidence une hyper-autofluorescence centrale qui évoque un DSR chronique. Sur l’OCT EDI on note une excavation choroïdienne focale centrale non conforme, avec interposition d’un espace hyporéflectif entre les photorécepteurs et l’EPR (D).
Pachychoroïde associée à des néovaisseaux choroïdiens
Figure 2. Imagerie multimodale d’un patient de 55 ans présentant une baisse d’acuité visuelle de l’œil droit liée à une vasculopathie polypoïdale associée à une pachychoroïde. Sur le cliché en autofluorescence (A), on note une ébauche de coulée gravitationnelle inféromaculaire. Sur l’angiographie à la fluorescéine au temps tardif (B), il y a une hyperfluorescence hétérogène maculaire avec des pin points. L’angiographie au vert d’indocyanine (C) met en évidence au temps précoce des dilatations polypoïdales en bordure d’un lacis néovasculaire de type 1. Le lacis néovasculaire est bien visible sur l’OCT-A (D), segmenté au niveau de la choriocapillaire (E). La coupe fovéolaire horizontale d’OCT en mode EDI met en évidence des dilatations ogivales entre la membrane de Bruch et l’EPR typiques de polypes, associées à une pachychoroïde mesurée à près de 600 microns au centre de la fovea et à un DSR central.
Figure 4. Imagerie multimodale d’un patient de 70 ans présentant un syndrome de pachychoroïde péripapillaire. Le cliché en autofluorescence bilatéral (A, B) met en évidence des altérations hyper-autofluorescentes de distribution péripapillaire correspondant à des zones hyperfluorescentes hétérogènes sur l’angiographie à la fluorescéine au temps tardif (C, D). Les plages d’hyperperméabilité vasculaire choroïdienne sur le cliché en ICG au temps intermédiaire (E, F) sont surtout localisées en supéropapillaire des 2 côtés. L’OCT EDI central met en évidence des kystes intrarétiniens de distribution interpapillomaculaire des 2 côtés (G, H), associés à un DSR seulement sur l’œil gauche (H). L’épaisseur choroïdienne fovéolaire est mesurée à plus de 500 microns des 2 côtés et la choroïde est particulièrement épaissie en nasal de la macula.
Figure 3. Clichés en autofluorescence (A, B) et OCT en mode EDI (C, D) d’une patiente de 55 ans avec une excavation choroïdienne focale fovéolaire au niveau de l’œil gauche. Au niveau de l’œil droit, la patiente présente une pachychoroïde à plus de 500 microns en fovéolaire associée à quelques AEP infracliniques visibles sur le cliché en autofluorescence. Au niveau de l’œil gauche, le cliché en autofluorescence met en évidence une hyper-autofluorescence centrale qui évoque un DSR chronique. Sur l’OCT EDI on note une excavation choroïdienne focale centrale non conforme, avec interposition d’un espace hyporéflectif entre les photorécepteurs et l’EPR (D).
Figure 1. Cas typique d’une CRSC aiguë [2]. A. SD-OCT avec épaississement choroïdien, pachyvaisseaux et amincissement de la choriocapillaire en dessous du point de fuite associé à un petit DEP et une érosion des segments externes des photorécepteurs en regard. C. FA typique avec diffusion du point de fuite en tache d’encre. D. Hypo-autofluorescence du point de fuite associé à une hyper-autofluorescence granulaire.
Recertification : une réunion, un rapport… et des mécontents
« Afin de favoriser l’actualisation régulière des compétences des médecins et de garantir aux patients une même qualité de prise en charge, Agnès Buzyn et Frédérique Vidal ont réuni aujourd’hui les membres de la mission Recertification », annonce le communiqué de presse du ministère de la Santé le 22 février. Au programme de cette réunion : les professionnels et spécialités concernés par la recertification, ainsi que le calendrier de travail, de concertation et de mise en œuvre de la réforme.
Concernant le premier point, le ministère précise que « la recertification des compétences concernera à terme l’ensemble des médecins exerçant en France. Afin de tenir compte des différents modes d’exercice et des spécialités, le comité de pilotage identifiera les spécificités des publics concernés. Il devra aussi dessiner les contours des dispositions légales nécessaires à la mise en œuvre et au contrôle de la recertification. Les propositions formulées pour les médecins serviront de base à une extension du dispositif aux autres professions de santé. » Du côté du calendrier, un rapport est attendu en septembre 2018 pour préciser l’articulation de la recertification avec le troisième cycle de médecine, le suivi de l’obligation et ses potentielles incidences financières.
… et des mécontents
La mise en place de la recertification s’annonce délicate car la composition du comité de pilotage chargé de mener le projet a fait plusieurs mécontents. En effet, celui-ci intègre les syndicats de jeunes médecins, les universitaires, la Haute autorité de santé (HAS), l’Ordre des médecins (CNOM), les usagers du Lien et le haut conseil du DPC… mais n’est ouvert ni aux représentants de médecins libéraux ni aux hospitaliers. Conséquence : le Syndicat des médecins libéraux (SML) s’inquiète. « Le SML, qui avait exprimé la crainte des médecins libéraux de voir la recertification donner lieu à de nouvelles contraintes et qui s’inquiétait du risque de prise de contrôle des hospitalo-universitaires sur la formation continue des médecins libéraux, est aujourd’hui très inquiet… et il y a fort à parier que ce qu’il redoute se vérifie dans les prochains mois », explique le syndicat dans un communiqué. De son côté, la confédération des syndicats médicaux s’indigne : « Comment imaginer susciter l’adhésion des médecins installés dans un processus d’actualisation régulière de leurs compétences s’il n’est pas construit par et avec eux ? » Enfin, le syndicat Action Praticiens Hôpital s’étonne de son exclusion et juge les motifs avancés inacceptables : « On nous explique que cette recertification concerne en premier lieu les professionnels qui débuteront leur carrière, mais en même temps, que ce processus « concernera à terme l’ensemble des médecins exerçant en France » et même que les professionnels en exercice pourront y adhérer individuellement. Pourquoi alors exclure les syndicats de médecins seniors, libéraux et hospitaliers ? » Le comité de pilotage a de son côté annoncé vouloir « échanger dès la mi-mars avec toutes les institutions représentatives, au premier rang desquelles figurent les organismes professionnels ; il renouvellera ces rencontres autant que de nécessaire pour disposer au quatrième trimestre 2018 de propositions partagées par tous et ouvrant des voies multiples pour que chacun puisse « construire » sa recertification. » Cela suffira-t-il à apaiser les tensions ?