Pelage de la limitante interne : quelles conséquences à long terme ?
Figure 4. Cliché en autofluorescence où l’on peut observer des lignes hyper-autofluorescentes parallèles aux gros vaisseaux, correspondant aux zones d’épithélium pigmentaire où étaient localisés les gros vaisseaux avant la chirurgie.
Dix ans d’expérience d’utilisation de l’implant de dexaméthasone dans les occlusions veineuses rétiniennes : exemple d’un cas clinique Happy Few
Figure 1. OCT maculaire montrant l’œdème cystoïde diffus et le décollement séreux sous-rétinien central.
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Dix ans d’expérience d’utilisation de l’implant de dexaméthasone dans les occlusions veineuses rétiniennes : exemple d’un cas clinique Happy Few
Figure 1. OCT maculaire montrant l’œdème cystoïde diffus et le décollement séreux sous-rétinien central.
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Figure 3. Examen en autofluorescence (à gauche) et OCT (à droite) d’une mini-MB chez un patient asymptomatique âgé de 74 ans. Un bombement de 25 µm est présent sur la coupe horizontale de l’OCT (en haut à droite) et de 41 µm sur la coupe verticale (en bas à droite), ce qui traduit un bombement arrondi en forme de dôme. On ne note pas de complication particulière (notamment pas de DSR ni d’atrophie de l’épithélium pigmentaire). Il existe une altération modérée de l’épithélium pigmentaire sur l’image en autofluorescence.
Figure 2. Comparaison des différentes profondeurs d’interactions dans le stroma cornéen par analyse de la réflectivité cornéenne en OCT-SD. Protocoles EPI-OFF à gauche : C pour conventionnel, A pour accéléré ; EPI-ON à droite : T pour transépithélial avec perméabilisants collyres seuls, I pour iontophorèse, OB pour « Oxygen Boosted ». Les flèches pointent la profondeur des lignes de démarcations observées (images David Touboul).
Figure 1. En imagerie autofluorescence de la rétine, visualisation d’une vaste lésion hyper-autofluorescente (ou blanche) au pôle postérieur de la rétine.
Figure 4. Aux phases plus tardives, la FA montre l’inflammation du nerf optique, ou papillite, et la plaque qui devient hyperfluorescente ; l’angiographie rétinienne au vert d’indocyanine, ou ICG, montre que la lésion est hypofluorescente au temps plus tardif seulement.
Maculopathie associée à une fossette colobomateuse
Figure 3. Exemple d’évolution d’une maculopathie associée à une fossette colobomateuse avant et après la chirurgie, chez un patient âgé de 30 ans. A. Au diagnostic, important DSR rétrofovéolaire responsable d’une baisse de vision à 2/10. B. Trois mois après la vitrectomie, amélioration de l’acuité à 6/10 et diminution du DSR. C. Un an après la chirurgie, acuité visuelle à 10/10 et résolution complète de la maculopathie.
Lire l'article associé Maculopathies associées aux fossettes colobomateuses : suivi et prise en charge
Figure 10. La déformation du greffon oblige à augmenter la flèche centrale de la lentille avec une clairance centrale très haute ; une géométrie « spéciale greffe » permet de la diminuer.
Figure 3. A. Exemple d’exercice d’entraînement « basique » en vitrectomie pour appréhender le volume de la cavité vitréenne. B. Simulation de pelage de membrane épirétinienne.
Lire l'article associé Intérêt de la simulation dans la formation des internes à la chirurgie
Figure 2c. Évolution à 1 mois postvitrectomie avec injection sous-rétinienne de rt-PA et IVT de gaz et d'anti-VEGF. On visualise bien le déplacement en inférieur de la macula de la composante sous-rétinienne du saignement.
Figure 1a. Hémorragie intravitréenne et rétro-hyaloïdienne maculaire en nid de pigeon faisant suite à une activité physique intense (phénomène de Valsalva) chez une patiente de 20 ans.
Lire l'article associé Hémorragie du vitré traumatique : traumatisme, phénomène de Valsalva, syndrome de Terson, et pronostic vital chez l’enfant
Vitrectomie pour une occlusion de branche veineuse rétinienne supérieure
Figure 3. Imagerie rétinienne ultra-grand champ (Optos) de l’œil droit postopératoire d’une vitrectomie pour une occlusion de branche veineuse rétinienne supérieure.
Lire l'article associé Hémorragie du vitré par déchirures rétiniennes ou occlusions veineuses dans un contexte non diabétique et non traumatique
Dégénérescence marginale pellucide : intérêt des verres scléraux
Figure 3. Photographies du segment antérieur avec lentille sclérale. À gauche, en lumière blanche : la lentille est bien centrée, il n’y a pas de compression sclérale. Au centre, en lumière bleue après l’instillation de fluorescéine : il n’y a pas de contact cornéen. À droite, en vue de coupe avec fluorescéine : bon réservoir de larmes.
Figure 1. Photographies en lampe à fente en coupe des segments antérieurs droit et gauche montrant l’amincissement et le bombement cornéens inférieurs.
Image peropératoire d’une rétine d’un patient myope fort.
Figure 3. Image peropératoire d’une rétine d’un patient myope fort. Les contrastes sont optimisés par l’utilisation d’un filtre avec des niveaux de gris permettant la visualisation de la membrane limitante interne en cours de pelage.
Figure 3. Examen en autofluorescence (à gauche) et OCT (à droite) d’une mini-MB chez un patient asymptomatique âgé de 74 ans. Un bombement de 25 µm est présent sur la coupe horizontale de l’OCT (en haut à droite) et de 41 µm sur la coupe verticale (en bas à droite), ce qui traduit un bombement arrondi en forme de dôme. On ne note pas de complication particulière (notamment pas de DSR ni d’atrophie de l’épithélium pigmentaire). Il existe une altération modérée de l’épithélium pigmentaire sur l’image en autofluorescence.
Figure 4. Aux phases plus tardives, la FA montre l’inflammation du nerf optique, ou papillite, et la plaque qui devient hyperfluorescente ; l’angiographie rétinienne au vert d’indocyanine, ou ICG, montre que la lésion est hypofluorescente au temps plus tardif seulement.
Figure 1. En imagerie autofluorescence de la rétine, visualisation d’une vaste lésion hyper-autofluorescente (ou blanche) au pôle postérieur de la rétine.
Maculopathie associée à une fossette colobomateuse
Figure 3. Exemple d’évolution d’une maculopathie associée à une fossette colobomateuse avant et après la chirurgie, chez un patient âgé de 30 ans. A. Au diagnostic, important DSR rétrofovéolaire responsable d’une baisse de vision à 2/10. B. Trois mois après la vitrectomie, amélioration de l’acuité à 6/10 et diminution du DSR. C. Un an après la chirurgie, acuité visuelle à 10/10 et résolution complète de la maculopathie.
Figure 10. La déformation du greffon oblige à augmenter la flèche centrale de la lentille avec une clairance centrale très haute ; une géométrie « spéciale greffe » permet de la diminuer.
Figure 10. La déformation du greffon oblige à augmenter la flèche centrale de la lentille avec une clairance centrale très haute ; une géométrie « spéciale greffe » permet de la diminuer.
Figure 10. La déformation du greffon oblige à augmenter la flèche centrale de la lentille avec une clairance centrale très haute ; une géométrie « spéciale greffe » permet de la diminuer.
Figure 3. A. Exemple d’exercice d’entraînement « basique » en vitrectomie pour appréhender le volume de la cavité vitréenne. B. Simulation de pelage de membrane épirétinienne.
Figure 2c. Évolution à 1 mois postvitrectomie avec injection sous-rétinienne de rt-PA et IVT de gaz et d'anti-VEGF. On visualise bien le déplacement en inférieur de la macula de la composante sous-rétinienne du saignement.
Figure 2c. Évolution à 1 mois postvitrectomie avec injection sous-rétinienne de rt-PA et IVT de gaz et d'anti-VEGF. On visualise bien le déplacement en inférieur de la macula de la composante sous-rétinienne du saignement.
Figure 1a. Hémorragie intravitréenne et rétro-hyaloïdienne maculaire en nid de pigeon faisant suite à une activité physique intense (phénomène de Valsalva) chez une patiente de 20 ans.
Vitrectomie pour une occlusion de branche veineuse rétinienne supérieure
Figure 3. Imagerie rétinienne ultra-grand champ (Optos) de l’œil droit postopératoire d’une vitrectomie pour une occlusion de branche veineuse rétinienne supérieure.
Vitrectomie pour une occlusion de branche veineuse rétinienne supérieure
Figure 3. Imagerie rétinienne ultra-grand champ (Optos) de l’œil droit postopératoire d’une vitrectomie pour une occlusion de branche veineuse rétinienne supérieure.
Figure 1. Photographies en lampe à fente en coupe des segments antérieurs droit et gauche montrant l’amincissement et le bombement cornéens inférieurs.
Figure 3. Photographies du segment antérieur avec lentille sclérale. À gauche, en lumière blanche : la lentille est bien centrée, il n’y a pas de compression sclérale. Au centre, en lumière bleue après l’instillation de fluorescéine : il n’y a pas de contact cornéen. À droite, en vue de coupe avec fluorescéine : bon réservoir de larmes.
La deuxième édition du congrès Marseille ophtalmologie nouveautés en thérapeutique et imagerie (Monti) se tiendra au palais du Pharo.
Le thème ? Les urgences en ophtalmologie. Celui-ci sera décliné autour de la pédiatrie, de l’oculoplastie, de la rétine médicale, de la rétine chirurgicale et du glaucome.