Le réflexe afférent pupillaire

Toute décision thérapeutique repose sur une convergence d’arguments. Avec l’arrivée de l’OCT-A, la réalisation systématique d’une angiographie à la fluorescéine, examen invasif non sans risque, fait débat. Utilisé au quotidien en neuro-ophtalmologie, l’examen du réflexe afférent pupillaire sait également être utile dans la surveillance d’une occlusion de veine centrale de la rétine. Son déficit est appelé « signe de Marcus Gunn ».

Auteurs

  • Nathalie Delhay

    Orthoptiste

    Centre d’ophtalmologie du Mené-Ténénio, Vannes

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