La qualité docimologique des ECNi augmente

Dans les dossiers cliniques progressifs (DCP) des ECNi-tests de mars 2017, 22% des questions nécessitaient un raisonnement complexe contre 10% en juin 2016, note André Quinton, du CRAME (Centre de recher­ches appliquées en métho­des éducatives) de Bordeaux. Une évolution qui va dans le bon sens : plus de réflexion et moins de « par cœur ».

 

 

L'accès à la totalité de la page est protégé.

Je m'inscris

Identifiez-vous